2025/03

Synthèse de l’actualité internationale de mars 2025

Par Axelle DEGANS, le 1er avril 2025  Imprimer l'article  lecture optimisée  Télécharger l'article au format PDF

Docteure en Géopolitique de l’Université de Reims Champagne-Ardenne. Membre du Conseil scientifique du Diploweb.com. Agrégée d’histoire, Professeure de chaire supérieure au lycée Faidherbe (Lille) où elle enseigne la géopolitique en classes préparatoires économiques et commerciales. Auteure de nombreux ouvrages.

Élections dans le monde ; États-Unis, prédateurs ; Une paix possible ? Un nouveau triangle ; Un Soudan déchiré ; Affirmation de l’autoritarisme en Turquie ; L’hydrogène : l’avenir ? etc.

Voici la précieuse synthèse d’Axelle Degans qui sera fort utile à tous ceux qui veulent disposer d’un point de l’actualité géopolitique mondiale, voire préparent un concours ou un entretien de recrutement. Pour ne rien manquer, et recevoir nos alertes sur des documents importants, le plus simple est de s’abonner gratuitement à notre Lettre d’information hebdomadaire

Le sort des urnes

EN NAMIBIE, Netumbo Nandi-Ndaitwah est investie en mars 2025 à la présidence après avoir remporté les élections fin 2024. La nouvelle présidente appartient au parti SWAPO (Organisation du peuple du Sud-Ouest africain) au pouvoir en continu depuis l’indépendance de 1990. Elle prend la tête d’un pays pauvre et désertique d’Afrique australe, mais au sous-sol riche en uranium et avec un développement potentiel de l’hydrogène vert ainsi que des hydrocarbures.

Au Canada, à Mark Carney prend la tête du parti libéral et de facto remplace Justin Trudeau, démissionnaire du poste de Premier ministre, jusqu’aux prochaines élections du printemps 2025. Il est membre du parti libéral, ancien de la banque Goldman Sachs et ancien gouverneur de la Banque du Canada. Il affiche une volonté de fermeté face à son voisin du Sud qui manifeste sa volonté d’annexer le Canada.

Synthèse de l'actualité internationale de mars 2025
Dr. Axelle Degans
Degans/Diploweb

Les États-Unis, prédateurs

Il est inutile de croire qu’il existe un retour d’un instinct de prédation à Washington, la guerre économique institutionnalisée par Bill Clinton montre que c’est une pratique bipartisane. Donald Trump clame haut et fort une politique menée à bas bruit par ses prédécesseurs. L’actuel président américain annonce ses velléités sur le canal de Panama. Le fonds américain BlackRock de Larry Fink rachète à la firme hongkongaise CK Hutchison les ports de Balboa sur la côte Pacifique et Cristobal sur la côte atlantique. Le canal de Panama repasse ainsi sous le contrôle étatsunien. Le président américain a pesé de tout son poids pour que cette transaction se réalise.

Il réaffirme « Il nous faut le Groenland », Washington DC l’a déjà envisagé fin XIXème siècle ainsi qu’à l’issue de la Seconde Guerre mondiale, et dispose d’un accord de défense depuis 1951 et d’une base militaire à Thulé – Pituffik- sur laquelle le vice-président J-D Vance vient de se rendre. Les tensions sont vives avec le Danemark qui n’entend pas céder. Les Danois rejettent cette possible annexion - le montrent des slogans « Yankees go Home » ou « Make icecubes not war » - comme visiblement les Groenlandais. En fait se noue un nouveau « grand jeu » pour le monde arctique. Les riverains de l’Arctique sont : la Russie, la principale puissance arctique grâce à la Sibérie, le Canada dispose d’une vaste fenêtre sur cet espace, les Etats-Unis y sont présents par le biais de l’Alaska, la Norvège et enfin le Danemark grâce à la région autonome du Groenland. Si l’intérêt représenté par l’Arctique est géostratégique, il est surtout géopolitique avec les routes maritimes appelées à se développer à l’aune du réchauffement climatique, l’accès à d’importantes réserves d’hydrocarbures, et de minerais stratégiques…. Et la volonté de contrer l’influence chinoise grandissante dans la région.

Une paix possible ?

Un traité de paix est prêt à être signé entre l’Azerbaïdjan et l’Arménie. Une guerre gagnée grâce aux drones. Le plateau du Haut Karabagh est annexé par Bakou qui y a mené un nettoyage ethnique. Erevan est très seul, la Russie et l’Union européenne ont besoin de l’Azerbaïdjan, pas de l’Arménie. Bakou veut imposer un corridor au Sud de l’Arménie, sans que cela n’émeuve la communauté internationale, au contraire de la situation en Ukraine. Un deux poids, deux mesures et malheur aux vaincus. L’amertume est immense en Arménie et dans toute la diaspora.

En Asie centrale, la réunion qui s’est tenue à Bichkek en mars 2025 aboutit à un accord final de délimitation de la frontière entre la République kirghize et la République du Tadjikistan. C’est un préalable à la normalisation des relations diplomatiques, économiques et commerciales entre ces deux républiques, il précède une autre réunion incluant aussi l’Ouzbékistan. Les cinq républiques d’Asie centrale (avec en plus le Turkménistan, et le Kazakhstan) sont nées du démembrement de l’URSS et doivent aujourd’hui exister entre Chine et Russie dont les appétits sont immenses, à la mesure de cet espace peu peuplé… mais riche en ressources et potentialités.


Plus

Tous les podcasts géopolitiques de l’émission Planisphère animée par Pierre Verluise, en un clic. Et avec en bonus une synthèse rédigée, c’est possible ? Oui, ici.


Trêves ?

Au Proche-Orient la trêve entre le Hamas et Israël a permis la libération de quelques dizaines d’otages contre des centaines de prisonniers, mais les multiples entorses l’ont rendu caduque. L’armée israélienne a repris les combats contre le Hamas. La situation sanitaire des Gazaouis est catastrophique, les convois d’aide humanitaire peinent à les atteindre dans un territoire détruit et désolé. Des centaines de Palestiniens ont manifesté pour réclamer la fin de la guerre, certains à Beit Lahya, au Nord de la bande de Gaza ont clamé « Hamas dehors », « Hamas terroriste » et dénoncé le rôle de la chaine qatarie Al-Jazira qui soutient le Hamas. Celui-ci est la branche palestinienne des frères musulmans au pouvoir au Qatar, il a pris de force le pouvoir dans la bande de Gaza après avoir perdu les élections dans les territoires palestiniens face au Fatah. Il faut préparer la sortie de cette guerre, le plan arabe – sous l’égide de l’Égypte – n’intègre pas le Hamas dont la légitimité est désormais contestée jusqu’à Gaza, Israël propose un plan de départ des Gazaouis…

Sur le front de l’Ukraine un semblant de trêve est accepté courant mars 2025 par les belligérants, sous les auspices de l’Arabie saoudite. Celle-ci concerne seulement l’espace de la mer Noire, permettant l’exportation des céréales, les combats continuant dans le Donbass et autour de Koursk où les troupes ukrainiennes ont reculé. Un échange de prisonniers a néanmoins été possible.

Des trêves bien limitées et bien fragiles.

En Syrie

Les provinces côtières, terres des Alaouites, sont le théâtre d’exactions de masse perpétrées par les forces des Hayat Tahrir al-Cham (HTC) dont le leader, Ahmed al-Charaa ancien Joulani, a pris le pouvoir en décembre 2024. Des massacres et d’épouvantables attaques, qui sont des règlements de compte planifiés et organisés menés par les islamistes contre les Alaouites (communauté d’origine des el-Assad) mais aussi contre les chrétiens. Jean X, patriarche des Chrétiens orthodoxes réfugiés en pays alaouite pour éviter les humiliations, viols et assassinats, dénonce ces assassinats de « civils innocents, désarmés, dont des femmes et des enfants ». Les minorités craignent les exactions du nouveau pouvoir en place, qui rappellent celles du temps des el-Assad. La minorité druze trouve protection auprès d’Israël qui a menacé d’une intervention si les Druzes étaient victimes d’exactions. La minorité arménienne est protégée par la Russie, les Kurdes par les Américains, pas les Alaouites qui craignent l’avenir, à raison. Pierre Razoux, de la Fondation méditerranéenne d’études stratégiques (FMES), estime que cette radicalisation confessionnelle se produit à un moment que les islamistes estiment favorable pour éliminer une partie des minorités syriennes car Donald Trump est mobilisé sur les dossiers ukrainien, de la bande de Gaza et de l’Iran. Les Nations unies se disent « profondément alarmées », et l’Union européenne offre une aide de six milliards d’euros au nouveau pouvoir de Damas pour dynamiser une économie en berne.

Un nouveau triangle

Iran, Russie et Chine annoncent des manœuvres conjointes à partir du port de Chahabar, près de la mer d’Oman. Plusieurs États sont des observateurs de cet exercice militaire : l’Azerbaïdjan, l’Afrique du Sud, Oman, le Kazakhstan, le Pakistan, le Qatar, l’Irak, les Émirats arabes unis et le Sri Lanka assisteront à ces exercices en tant qu’observateurs

Un Soudan déchiré

Le Sud-Soudan est né le 1er juillet 2011 d’une partition avec le Soudan, un enfantement dans la douleur après des décennies de guerre civile. Il a rapidement sombré à son tour dans une autre guerre civile entre 2013 et 2018 opposant deux ethnies, celle du président Salva Kiir, les Dinkas, et les Nuers du vice -président Riek Machar. Cette guerre a causé la mort d’environ 400 000 Soudanais et provoqué la migration, interne ou non, de près de quatre millions d’autres Soudanais. En 2025, la conflictualité se réaffirme entre les loyalistes et une « armée blanche » nuer, le tout sur fond de richesse pétrolière. Au moins 50 000 personnes ont été déplacées.

Au Soudan, Omar el-Béchir a perdu le pouvoir dans le sillage du mouvement de l’Hirak. Un pouvoir de transition militaire s’est établi, à la faveur d’un putsch en 2021, dans l’attente d’organisation d’élection en faveur d’un gouvernement civil…. Transition qui ne s’est toujours pas réalisée. Depuis 2023 deux factions militaires s’opposent pour le pouvoir, celle du général Abdel Fattah al-Burhan, actuellement au pouvoir et à la tête des Forces armées soudanaises (FAS) et d’autre part Hamdane Daglo à la tête des FSR. Cette guerre a déjà provoqué la mort de plusieurs dizaines de milliers de personnes. Aujourd’hui, Khartoum est en proie à des bombardements et des tirs d’artillerie qui ont déjà tué des dizaines de civils, selon le Haut-Commissariat de l’ONU aux droits de l’homme (HCDH), dans la lutte pour la prise de contrôle de la capitale. Les FAS ont repris la capitale.

Un apaisement pour la République démocratique du Congo ?

Alors que le M23, financé et armé par Kigali, a pris possession d’une partie orientale du territoire congolais, mettant la main sur les mines de coltan et d’étain, des négociations se tiennent pour trouver une issue et soulager le malheur des populations civiles. Le Qatar est l’hôte d’une réunion entre le président congolais Félix Tshisekedi et Paul Kagamé au pouvoir au Rwanda depuis 31 ans. La résolution onusienne 2773 exige le départ des troupes rwandaises du sol congolais et la fin du soutien de Kigali au M23. L’Union européenne, le Royaume-Uni, les Etats-Unis et le Canada prennent des sanctions contre les agresseurs du Congo. Un cessez-le-feu est-il réellement possible ?

Si l’Arabie saoudite accueille les négociations pour un cessez-le-feu entre Moscou et Kiev, sous l’égide des Etats-Unis, Doha cherche à s’imposer sur la scène diplomatique régionale dans un rôle de médiateur concernant une région où il a d’importants investissements.

Un Sahel sous tension

En 2022, un putsch a conduit au pouvoir Ibrahim Traoré au Burkina Faso pour mettre fin aux violences djihadistes à l’encontre des populations civiles contraintes de fuir car les forces de l’ordre étaient incapables de les protéger. En fait, plus d’un dizaine de milliers de personnes ont été assassinées par les djihadistes depuis le putsch. A cette violence répond désormais celles de forces de sécurité contre les Peuls accusés de composer le gros des contingents djihadistes, comme l’illustre le massacre de plusieurs dizaines de civils à Solenzo. Les crimes de guerres se multiplient sans résoudre le danger islamiste et l’absence de développement en raison de l’insécurité chronique.

Les pays du Sahel se tournent, après Barkhane, vers la Russie avec la présence grandissante de Wagner mais pas seulement. Les militaires sont au pouvoir au Mali, au Burkina Faso, au Niger, au Tchad. Ils se tournent de plus en plus vers le chinois Norinco pour leurs achats d’armes, ainsi le Mali lui a acheté en 2023 des blindés, et les militaires maliens sont désormais en partie formés par des soldats de l’APL, alors qu‘un attaché militaire chinois conseille la junte nigérienne et que le Burkina Faso achète, lui aussi, des blindés à Norinco. En fait les Occidentaux – pour ne pas dire les Français – se sont effacés militairement et diplomatiquement du Sahel, ils sont remplacés par une influence russe désormais clairement concurrencée par celle de Pékin qui livre des armes, conseille militairement et commence à produire de l’armement sur place. Une révolution géostratégique ? En tout cas une proximité nouvelle entre la Chine et les pays de la récente Alliance des États du Sahel (AES) composée du Burkina Faso, du Mali et du Niger, et qui intéresse visiblement le Togo.

Affirmation de l’autoritarisme en Turquie

En Turquie, le maire d’Istanbul, Ekrem Imamoglu a été mis en garde à vue puis incarcéré en mars 2025 pour corruption. Il s’agit, en fait, du principal opposant politique au président R. Erdogan, il est populaire. Une primaire s’organisait pour désigner le prochain challenger à l’actuel président turc. Cette arrestation attise la colère de la population qui se sent dépossédée de l’exercice citoyen du vote. Le tournant néo-autoritaire de l’exercice du pouvoir par Erdogan date du pseudo coup d’État en 2016 qui lui avait déjà permis de mettre au pas l’armée – gardienne de l’héritage laïc de la révolution kémaliste - le monde universitaire et celui des médias. Une nouvelle étape a été franchie avec cette arrestation arbitraire qui fragilise encore davantage ce qui reste de la démocratie turque aux mains des Frères musulmans de l’AKP, parti dont est issu le président. Plus d’un millier de manifestants a été arrêté, ils dénoncent l’emprisonnement d’Ekrem Imamoglu. Les rassemblements sont interdits dans les principales villes du pays. Un journaliste suédois a été arrêté à Istanbul, accusé d’avoir participer à Stockholm à une manifestation du PKK.

Ne pas oublier Boualem Sansal

L’écrivain franco-algérien est toujours dans les geôles algériennes bien qu’il soit âgé et malade. Le poids des mots…. Il est condamné à cinq années d’emprisonnement pour atteinte à l’intégrité territoriale au motif qu’il a déclaré dans une revue que l’Ouest algérien relevait du Maroc.

Cinq ans après

L’épidémie du coronavirus est née en Chine et s’est transformée en pandémie, déclarée comme telle bien tardivement par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Il y a cinq ans une partie du monde s’enfermait. Le bilan n’est toujours pas fait, les leçons pas tirées. Un choc mondial de plus de 7 millions de morts, mais il bien difficile d’avoir des chiffres réalistes. La France aurait perdu peut-être 170 000 personnes, les Etats-Unis plus d’un million, le Brésil plus de 700 000, l’Inde peut-être 700 000 et la Chine officiellement un peu plus de 18 000 (source Statista, derniers chiffres). Un grand enfermement en France, avec le nombre de morts égrené chaque jour comme le nombre de personnes en réanimation – à comprendre comme les futurs morts. Un immense effort demandé au personnel médical dont les services de réanimation sont saturés. Une logistique qui permet à la population de continuer à s’alimenter, donc à vivre. L’occasion de découvrir que le monde est sino-centré, les Occidentaux se battant – au sens littéral du terme – pour les masques fabriqués en Chine, pour les respirateurs fabriqués en Chine… une Chine qui déploie une diplomatie du masque puis une diplomatie des vaccins quand les Européens achètent à prix d’or et en grand nombre des vaccins, et donc en privent une partie de l’humanité, en sachant que beaucoup d’entre eux ne sont finalement pas utilisés… Une image mondiale désastreuse qui décrédibilise encore davantage les Occidentaux aux yeux de ce nouveau « Sud global ». Les questions ontologiques n’ont pas été posées sur le confinement de toute la population et non seulement des personnes à risque (personnes âgées et les personnes en mauvaises santé). Si certains ont bien vécu cette période de confinement voire la regrette, pour d’autres cela a été un vrai cauchemar, en France nous avons laissé nos ainés seuls dans les Ephad, nous avons laissé les personnes mourir seules, coupées de leurs proches ce qui questionne notre civilisation…. Et des populations du Sud bien seules. Enfin, les origines de cette pandémie restent bien mystérieuses, même cinq ans plus tard.

L’hydrogène : l’avenir ?

Les pays occidentaux se sont lancés dans une transition énergétique. Il s’agit de décarboner le mix énergétique en limitant voire excluant à terme les énergies fossiles au profit de l’électricité faiblement émettrice de gaz à effet de serre mais énergie secondaire car issue d’une conversion. L’Allemagne a choisi de sortir du nucléaire après l’incident de Fukushima (2011) et les très fortes pressions du parti écologiste – die Grünen – alors au gouvernement de Madame Merkel. Les Allemands ont réexploité des mines de charbon à ciel ouvert et importé du gaz russe à grande échelle. Avec le déclenchement de la guerre en Ukraine, Bruxelles a décidé de limiter au plus vite les importations de gaz russe, il faut donc trouver une autre manière de produire de l’électricité pour respecter les objectifs du « green deal » ou Pacte vert. Les Allemands envisagent de décarboner leur économie grâce à l’hydrogène bas carbone. L’Allemagne a lancé le projet H2Global mais il butte sur la construction de nécessaires infrastructures, les volumes colossaux à produire, et la crainte des entreprises devant l’importance des investissements.

En fait, le marché de l’hydrogène est freiné par la frilosité de la demande et le manque d’investissement. Concrètement, le coût de l’hydrogène bas carbone explique ce refroidissement des ardeurs. Airbus a reporté son projet d’avion à hydrogène, la France revoit ses ambitions à la baisse. La filière hydrogène est aussi concurrencée par celle des batteries électriques, elle est pénalisée par les investissements que nécessite la révolution de l’intelligence artificielle.


Bonus

L’émission Planisphère [1], La puissance américaine est-elle en péril ? Avec M. Quessard


Bonnes nouvelles

L’otage français, Olivier Godeau a été libéré et a pu retrouver les siens. Il était retenu en captivité en Iran depuis octobre 2022.

L’équipe de France de rugby remporte le tournoi des Six nations, cinquième fois au XXIème siècle. Bravo à eux !

Les astronautes américains piégés dans la station orbitale ISS depuis le mois de juin 2024 sont revenus sur Terre. Initialement prévue pour huit jours, leur présence dans la station est prolongée en raison d’une défaillance de la navette de Boeing. Ils sont rentrés à bord d’une navette Crew Dragon de Space X. Nous imaginons leur soulagement…

Copyright Mars 2025-Degans/Diploweb.com


Plus

Voir les synthèses d’octobre 2023, novembre 2023, décembre 2023, janvier 2024, février 2024, mars 2024, avril 2024, mai 2024, juin 2024, juillet-août 2024, septembre 2024, octobre 2024, novembre 2024, décembre 2024, janvier 2025, février 2025


Bonus. Planisphère, Comment l’UE fait-elle face à une géopolitique en redéfinition ? Avec C. Lavallée

D’un clic, bénéficier de la synthèse rédigée, validée par C. Lavallée


Pour ne rien rater de nos nouvelles publications, abonnez-vous à la Lettre du Diploweb !

[1Cette émission a été enregistrée le 18 mars 2025.

Diploweb est sur Tipeee
Vous aussi soyez acteur du Diploweb ! Soutenez-nous via notre page tipeee.com/Diploweb
Les livres de Diploweb sont sur Amazon
des références disponibles via Amazon sous deux formats, Kindle et papier broché

DIPLOWEB.COM - Premier site géopolitique francophone

SAS Expertise géopolitique - Diploweb, au capital de 3000 euros. Mentions légales.

Directeur des publications, P. Verluise - 1 avenue Lamartine, 94300 Vincennes, France - Présenter le site

© Diploweb (sauf mentions contraires) | ISSN 2111-4307 | Déclaration CNIL N°854004 | Droits de reproduction et de diffusion réservés

| Dernière mise à jour le mercredi 30 avril 2025 |