03/2021

Synthèse de l’actualité internationale de mars 2021

Par Axelle DEGANS, le 1er avril 2021  Imprimer l'article  lecture optimisée  Télécharger l'article au format PDF

Docteure en Géopolitique de l’Université de Reims Champagne-Ardenne. Agrégée d’histoire, Professeure de chaire supérieure au lycée Faidherbe (Lille) où elle enseigne la géopolitique en classes préparatoires économiques et commerciales. Auteure de nombreux ouvrages.

Voici une précieuse synthèse de l’actualité internationale de mars 2021 qui sera fort utile à tous ceux qui veulent disposer d’un point de l’actualité géopolitique, suivent la spécialité #HGGSP voire préparent un concours dans des conditions délicates. Pour ne rien manquer, et recevoir nos alertes sur des documents importants, le plus simple est de s’abonner gratuitement à notre Lettre d’information hebdomadaire ou au compte twitter de veille géopolitique @diploweb (plus de 17 000 followers).

Un nouveau dirigeant pour la Tanzanie

En Tanzanie, le président John Magufuli est décédé. Il est remplacé, courant mars 2021, en conformité avec la constitution du pays, par la vice-présidente Samia Sulu Hassan qui a prêté serment. Elle est la première femme à diriger son pays.

Mobilisation populaire en Birmanie, en Thaïlande, en Algérie, au Liban, au Sénégal

La répression continue durant le mois de mars 2021 en Birmanie alors que la mobilisation de la population civile ne faiblit pas. Plusieurs centaines de personnes ont payé de leur vie le fait de défier la junte militaire. Une manifestation ouvrière à Hlaing Thar Yar a viré à l’affrontement. Samedi 27 mars, la répression a encore fait plusieurs morts.

En Thaïlande, la capitale a de nouveau été en mars 2021 le théâtre de manifestations pro-démocratie réclamant l’abrogation de l’article du Code pénal concernant les crimes de lèse-majesté. La situation est très tendue dans le pays.

En Algérie, plusieurs milliers d’étudiants sont sortis dans les rues de la capitale, alors que les rassemblements ne sont pas autorisés. Ils dénoncent le régime du président Tebboune.

Au Liban, des manifestants laissent éclater leur colère en bloquant plusieurs routes pour dénoncer le pourrissement d’une situation déjà insupportable.

Au Sénégal, des manifestations assez violentes se sont déroulées dans la capitale. Les manifestants réclament la libération d’Ousmane Soko, l’opposant au président Macky Sall. L’armée a été déployée à Dakar après plusieurs jours d’affrontements et plusieurs morts.

Synthèse de l'actualité internationale de mars 2021
Dr. Axelle Degans
Degans/Diploweb

Visite historique du pape François au Proche-Orient

Le pape François réalise en mars 2021 un voyage historique en Irak, pays christianisé de façon précoce. Les chrétiens ont pourtant massivement fui ce territoire en proie à la guerre civile dont Daesh a été un des principaux acteurs. Le pape s’est aussi adressé à la communauté des Yézidis particulièrement meurtrie par les djihadistes qui les ont assassinés, réduit en esclavage et vendus. Un voyage sous le sceau de l’œcuménisme puisqu’à Ur, l’une des plus anciennes villes de la Mésopotamie et du monde, le pape est entouré par des représentants musulmans (sunnites et chiites), yézidis et sabéens.

Cybersécurité !

La cybersécurité est déjà un domaine très sensible, nombre d’entreprises l’ont déjà compris à leur dépens, victimes de déni de service, de vols de données, espionnage… rançongiciels multiples et variés. L’Anssi (Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information) a relevé 192 attaques en 2020. Alain Bouillé délégué général du Club des Experts de la Sécurité de l’Information et du Numérique (CESIN) estime, à propos de la corruption du logiciel de gestion Orion, que les cyberattaques indirectes annoncent « le combat du futur ». L’actualité de mars 2021 conforte cette analyse : l’Autorité bancaire européenne (EBA) est une victime collatérale d’une cyberattaque visant Microsoft, en utilisant une faille de sécurité.

Le public commence à comprendre que la cybersécurité concerne aussi la vie de tous les citoyens. Ainsi, les données de plus de 500 000 patients (numéros de sécurité sociale, précisions médicales…) se sont retrouvées sur Internet. Le parquet de Paris diligente une enquête concernant le vol de données stockées par des laboratoires de biologie.

2020 : une année en or pour la Chine ?

La Chine est l’un des rares pays à afficher une croissance économique positive en 2020, alors même qu’elle est l’épicentre à l’origine de la pandémie mondiale du coronavirus. Autre bonne nouvelle pour Pékin, elle a déposé, d’après l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle, 10 000 demandes de brevets internationaux de plus que les États-Unis. Elle est le pays qui en a déposé le plus, devant les États-Unis, le Japon, la Corée du Sud et l’Allemagne. La Chine s’affirme comme une puissance technologique, en accord avec les ambitions du plan Made in China 2025, qui doit faire d’elle le leader technologique de demain.

En mars 2021, le torchon brûle entre Bruxelles et Pékin. Dans le sillage du président américain, les Européens fustigent la politique de Pékin vis-à-vis des Ouigours. Des sanctions ont été prises contre quatre dignitaires chinois. La réponse ne s’est pas faite attendre : des sanctions touchent dix représentants européens et plusieurs organisations. L’ambassadeur de l’UE à Pékin a été convoqué au ministère des Affaires étrangères. La réciproque est vraie dans plusieurs pays européens (France, Allemagne, Belgique).

Si Israël et le Royaume-Uni démontrent leur capacité à vacciner à grande échelle, ce n’est pas le cas de la Chine. Elle vend ses vaccins à l’échelle du monde, mais moins de 5% de sa population serait vaccinée contre le coronavirus.


Axelle Degans, « La synthèse de l’actualité internationale 2020. Réussite aux concours 2021 ! », éd. Diploweb via Amazon
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La Chine horizon 2025

Le 14ème plan quinquennal veut accélérer la mutation de la Chine en puissance technologique. Des investissements importants devraient la rendre moins dépendante de ses importations en semi-conducteurs. Pékin vise ainsi l’autonomie technologique. Les investissements se portent aussi sur l’économie « verte » pour être moins dépendant des importations de pétrole et diminuer l’empreinte carbone de la Chine qui est l’une des plus fortes du monde.

La Chine doit aussi repenser son modèle économique en intériorisant davantage son économie : il faut convaincre les Chinois d’épargner moins et de consommer plus… chinois. L’économie chinoise serait alors moins dépendante du marché mondial dans un contexte qui lui est plus hostile du fait de sa politique envers les Ouigours et Hong Kong, mais aussi du changement de perception de la Chine de partenaire à rival, comme le prouve le bras de fer commercial qui l’oppose à Washington. Cette mutation passe par une lutte résolue contre les inégalités. Ce pays qui a eu la passion de l’égalité sous Mao compte un nombre impressionnant de milliardaires et dans le même temps 16% de la population est considérée comme pauvre, c’est-à-dire vivant avec moins de 5,5 dollars par jour. La Chine est devenue l’un des pays les plus inégalitaires de la planète, des inégalités qui pourraient être une menace pour le tout puissant parti communiste chinois.

La Chine boycotte certaines marques occidentales comme Adidas, H&M ou Nike qui ont décidé de ne plus utiliser du coton du Xinjiang car Pékin a recours au travail forcé des Ouighours. Ainsi, il n’est plus possible d’acheter des vêtements de la marque H&M sur les plateformistes chinois. Plus généralement, la question du respect des droits de l’homme au Xinjiang a été au cœur de la réunion en Alaska entre États-Unis et Chine, elle est aussi à l’origine de sanctions prises par les autorités chinoises à l’encontre de personnalités européennes.

Les défis des États-Unis de Joe Biden

Le principal défi des Etats-Unis, au niveau géopolitique, est la Chine. Joe Biden essaie, dans cette optique, de se rapprocher des Européens et emprunte le champ de confrontation sur les droits de l’homme, le sort réservé aux Ouighours… Autre source d’inquiétude, l’Afghanistan. Une table ronde réunit en mars 2021 à Moscou Américains, Russes et représentants afghans tant du gouvernement que de ceux qui le contestent. La vraie question étant celle de la place à donner aux Taliban [1]. Autre dossier à l’agenda américain, celui de l’Iran. Un accrochage maritime dans le golfe persique entre Israël et Téhéran, comme la signature d’un « pacte de coopération stratégique » de 25 ans entre Téhéran et Pékin ne sont pas de bon augure pour Washington.

L’élection de Joe Biden à la Maison Blanche a été un signal reçu par les migrants comme un encouragement après la grande fermeté de la précédente administration sur ce dossier. Des caravanes de migrants se sont constituées en Amérique latine. Ainsi, en février 2021 plus de cent mille migrants ont été arrêtés alors qu’ils essayaient de passer illégalement la frontière mexicano-américaine. La question des « dreamers », les mineurs arrivés sur le sol des Etats-Unis comme cette nouvelle vague migratoire provoquent de nombreux débats internes en mars 2021.

Le temps de la sécurité économique

La sécurité économique est en fait par essence géopolitique, au cœur des questions de souveraineté et donc de maitrise de son destin. Après des décennies durant lesquelles les investissements étrangers (IDE) étaient uniquement éclairés par un prisme volontairement positif dans le cadre de la libre circulation des capitaux d’un monde libéral très ouvert, le temps des bilans est venu. Il est motivé par de récents déboires géoéconomiques. La réévaluation des présupposés idéologiques se fait aussi sous la pression d’un constat : nombre de sociétés françaises passent sous contrôle étranger. Le contrôle des IDE est, depuis 2018, renforcé. Au-delà de la polémique suscitée par le refus de l’opération du canadien Couche-Tard sur la firme Carrefour, un holà a été mis sur la tentative de rachat du français Photonis par l’américain Teledyne. Ne nous y trompons pas, il ne s’agit pas ici d’un patriotisme économique rétrograde et contre-productif mais bien plutôt d’une décision motivée par une réflexion sur la sécurité économique dans une filière stratégique. Photonis fabrique des composants utilisés pour les jumelles à vision nocturne utilisées par l’armée française, raison pour laquelle le ministère des Armées s’était fortement opposé à ce rachat.


Bonus Radio Diploweb. La sécurité économique : un long déni français. Les preuves ?

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Les semi-conducteurs sont de nouveau au cœur d’une bataille géopolitique. Elle avait opposé les Etats-Unis et le Japon à la fin des années 1980, dans le cadre de la Guerre froide et donc de la compétition américano-soviétique. Elle concerne encore en mars 2021 les États-Unis inquiets de la pénurie des semi-conducteurs en raison d’une forte demande mondiale. La firme Intel annonce un investissement de vingt milliards de dollars en Arizona pour renforcer le made in USA. Les semi-conducteurs sont stratégiques dans la fabrication des missiles, des drones comme des appareils de nouvelle technologie ou l’industrie automobile. Ils sont massivement fabriqués en Asie.

Après que les rouages de l’économie mondiale ont été grippés en 2020 par un virus invisible à l’œil humain, en mars 2021 de mauvaises conditions météorologique (un vent qui a réduit la visibilité) sont responsables du blocage d’une des voies maritimes les plus empruntées au monde, le canal de Suez qui permet de relier l’Europe à l’Asie. Le porte-conteneurs Ever Given, long de 400 mètres, d’une capacité de 220 000 tonnes entrave quelques jours toute la circulation du canal de Suez. Il est à lui seul un résumé de la mondialisation. Construit au Japon, il appartient à une compagnie taiwanaise – Evergreen – il bat pavillon – de complaisance – panaméen, et il est parti du port chinois de Ningbo à destination de Rotterdam (Pays-Bas). Ce navire, échoué, a bloqué quelques jours plus de 150 bâtiments de part et d’autre du canal et les craintes provoquées entrainent une augmentation du cours de pétrole de 5%. Chaque jour perdu aurait entraîné une perte de plus de cinq milliards d’euros pour le commerce mondial. Cela perturbe les chaines de valeur globales organisées à l’échelle mondiale. Fin mars 2021, ce porte-conteneurs a été débloqué

Imbroglio des vaccins anti-covid

La gestion des vaccins anti-covid n’a pas fait gagner l’Union européenne en crédibilité. Certains de ses membres – Hongrie, République tchèque par exemple – n’hésitent pas à recourir à des vaccins que l’Union européenne n’a pas encore homologués, comme le russe Spoutnik V ou les vaccins chinois. Le Danemark et l’Autriche se tournent vers Israël (dont plus de 90% de la population est vaccinée) pour élaborer un vaccin de nouvelle génération, plus apte à protéger des mutations du covid-19. Plusieurs pays européens, dont l’Autriche, se plaignent d’avoir reçu moins de vaccins – notamment Astra Zeneca – que les autres membres de l’Union et appellent à une solidarité communautaire.

Alors que les Etats-Unis vaccinent près d’un million et demi de leurs concitoyens chaque jour, espérant, selon Joe Biden, pouvoir faire un barbecue pour la fête nationale du 4 juillet 2021, la situation reste très préoccupante au Brésil (5% de la population seulement y serait vaccinée). L’Inde espère vacciner 300 millions de personnes d’ici juillet 2021 et pour cela vacciner les plus de 45 ans à partir du mois d’avril 2021. Cela ne sera possible qu’en diminuant les exportations des vaccins fabriqués en très grand nombre au Serum Institut of India, ce qui n’est pas sans expliquer le rallongement des délais de livraison du vaccin Astra Zeneca.

Un regain des tensions

Les tensions augmentent entre Israël et la Jordanie. Le gouvernement israélien a interdit en mars 2021 la venue du prince Hussein de Jordanie sur l’esplanade des Mosquées de Jérusalem alors qu’il en est officiellement le gardien. En retour, la Jordanie a interdit le survol de son territoire à l’avion qui devait transporter le Premier ministre israélien vers les Émirats arabes unis (EAU). Jordanie est l’un des rares pays du monde arabo-musulman à avoir signé un accord de paix avec Israël (en 1994), avant les accords d’Abraham de 2020.

Dans le cadre des tensions sino-américaines, Washington propose de revitaliser le pacte de l’OTAN, dont le président français dénonçait, il y a un an, l’état de « mort cérébrale ». Ce qui peut fédérer les membres de l’OTAN est une position de fermeté vis-à-vis de la Russie, face à la montée en puissance de la Chine, mais aussi l’Afghanistan qui n’est pas pacifiée. La question du positionnement de la Turquie est essentielle mais il n’y a pas de consensus au sein de l’OTAN.

Les tensions sont désormais structurelles en mer de Chine méridionale autour des ilots des Spratleys et des Paracels. La Chine est dans une politique de territorialisation croissante de cette mer sur laquelle elle veut étendre davantage sa souveraineté en dépit de la convention de Montego Bay. Les Philippines y déploient une flotte pour y défendre ses droits et aspirations.

Tristes anniversaires

Dix ans que l’accident nucléaire de Fukushima a traumatisé le Japon. Près de 165 000 personnes ont dû être évacuées. La décontamination reste un chantier d’avenir. C’est ce paysage post-apocalypse qui est traversé par la flamme olympique. La symbolique est forte, mais ce n‘est pas suffisant pour passer à un après-catastrophe.

Il y a dix ans, en 2011, les « révoltes arabes » secouaient le pourtour de la Méditerranée pour se muer en guerres civiles en Syrie et Libye. Ces deux pays sont encore loin d’avoir trouvé une nouvelle forme de stabilité. S’il y a quelques lueurs d’espoir en Libye, on ne peut en dire autant en Syrie dont les cicatrices sont toujours à vif.

Le « grand confinement » a commencé en Europe il y a un an, en mars 2020. La crise sanitaire n’est toujours pas passée, la pandémie née en Chine a causé la mort de plusieurs millions de personnes dans le monde. Elle a aussi provoqué une vaste crise sociale dans de nombreux pays, et une crise économique très différenciée. La vaccination donne un espoir de sortie de cette crise sanitaire. La question d’un passeport vaccinal est aussi posée courant mars 2021.

Bonnes nouvelles

L’Arabie saoudite propose courant mars 2021 un cessez-le-feu global dans la guerre menée au Yémen, guerre dans laquelle Riyad s’est enlisé sans gloire. La fin du mandat de D. Trump et l’arrivé d’une nouveau locataire à la Maison blanche peuvent jouer un rôle dans cette évolution contrainte… et tardive. L’histoire de cette guerre et de ses zones d’ombres reste à écrire.

Un espoir en Libye après une décennie de guerre civile ? Les diplomaties française, italienne et allemande soutiennent d’une seule voix le gouvernement de transition créé à la fin de 2020. L’Union européenne appelle au retrait des très nombreux mercenaires présents sur le sol libyen.

Le prix Pritzker, prestigieuse récompense dans le domaine de l’architecture, est remporté par les Français Anne Lacaton et Jean-Philippe Vassal.

La France confirme sa vocation spatiale avec un exercice militaire, le premier dans ce domaine. Le nouveau commandement de l’espace, rattaché à celui de l’Air, sis à Toulouse organise « AsterX », discrète référence à Astérix, premier satellite que la France a lancé au milieu des années 1960. Cette vocation spatiale a plus d’importance à l’heure du développement cyber, de ses opportunités mais aussi de ses risques.

Copyright Avril 2021-Degans/Diploweb.com


Plus pour réussir

Extraits du catalogue des livres géopolitiques publiés par Diploweb pour la réussite aux concours.

. Axelle Degans, "La synthèse de l’actualité internationale 2020. Réussite aux concours 2021 !", éd. Diploweb via Amazon

. Florent Parmentier, Pierre Verluise (sous la dir.), "Géopolitique de l’Europe trois décennies après l’ouverture du Rideau de fer", éd. Diploweb via Amazon

. Axelle Degans, "La synthèse de l’actualité internationale 2019. Réussite aux concours 2020 !", éd. Diploweb via Amazon

. Patrice Gourdin, "Manuel de géopolitique, éd. Diploweb via Amazon"

. Pierre Verluise (dir.), "Géopolitique du monde de Trump. La stratégie du chaos ?" éd. Diploweb via Amazon

. Pierre Verluise (dir.), "Histoire, Géographie et Géopolitique de la RUSSIE et de ses frontières" , éd. Diploweb via Amazon

. P. Verluise (dir.), "Histoire, Géographie et Géopolitique de l’Union européenne. A l’heure du Brexit".

. P. Verluise (dir.), "Histoire, Géographie et Géopolitique de l’Asie. Les dessous des cartes, enjeux et rapports de force".

. P. Verluise (dir.), "Histoire, Géographie et Géopolitique du Proche et du Moyen-Orient. Les dessous des cartes, enjeux et rapport de force"

. P. Verluise (dir.), "Histoire, Géographie et Géopolitique de la mondialisation contemporaine. Les dessous des cartes, enjeux et rapports de force"

. S. Schmit, "Histoire, Géographie et Géopolitique de l’Amérique latine : Un sous-continent en pleine transition politique, énergétique et commerciale. Dossiers et fiches pays"

. L. Chamontin, "Ukraine et Russie : pour comprendre"

. L. Bloch, "L’Internet, vecteur de puissance des États-Unis ? : Géopolitique du cyberespace, nouvel espace stratégique"

. G-F Dumont, P. Verluise, "The Geopolitics of Europe : From the Atlantic to the Urals"


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[1NDLR Taliban est le pluriel de « taleb » (instruit, dans le sens coranique) et ne prend donc jamais de « s ».


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