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Les relations stratégiques sino-russes, Xi Jinping et Vladimir Poutine : un nouvel axe rouge ? Entretien avec Thierry Fortin

Par Thierry FORTIN, Thomas BILLEBAULT, le 3 août 2020  Imprimer l'article  lecture optimisée  Télécharger l'article au format PDF

Thierry Fortin est ancien officier de réserve opérationnelle de l’armée de Terre (qualifié ORSEM), 1993-2004 et ancien formateur au CFIAR (Centre de Formation Interarmées au Renseignement) 2003-2008. Thierry Fortin est Professeur agrégé d’anglais à Sciences Po Lyon, spécialiste en défense, sécurité et relations internationales. Propos recueillis pour Diploweb.com par Thomas Billebault, étudiant en 3ème année à Sciences Po Lyon et titulaire d’un diplôme spécialisé sur les États-Unis contemporains.

Les relations entre la Chine et la Russie ont historiquement révélé de nombreuses contradictions et complexités politiques illustrées pendant la Guerre froide. Cependant, la montée en puissance de la Chine révèle une nouvelle étape dans les relations stratégiques sino-russes. En effet, la Chine souhaite désormais affirmer ses ambitions hégémoniques en se rapprochant de nouveau de la Russie dans des domaines stratégiques, afin de provoquer la superpuissance américaine. L’axe Moscou-Pékin peut-il modifier "l’équilibre" international ? Thierry Fortin répond avec précision aux questions de Thomas Billebault pour Diploweb.com

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Thomas Billebault (T.B.) : Quel est le fondement contemporain des connexions stratégiques Chine-Russie ?

Thierry Fortin (T.F. ) : Nous pouvons voir les relations entre la Chine et la Russie modernes comme des liens tissés entre deux grands pays nés d’un affranchissement spectaculaire : d’un système politique vu comme obsolète et despotique pour les Russes en 1917 et d’une tutelle coloniale pour la Chine en 1949, qui s’était auparavant retrouvée sous l’éteignoir pendant plus d’un siècle. Cependant, si la Chine est toujours sous régime politique communiste car l’appareil du Parti est toujours en place (avec une économie « capitaliste » dérégulée), la Russie post-soviétique, elle, n’est plus un pays communiste depuis la fin de l’URSS en 1991, et son régime est désormais plus proche du modèle autocratique et « capitaliste ». La lutte messianique des deux régimes communistes dans les années 1940-50 pour faire triompher les classes opprimées et défaire le capitalisme impérialiste (États-Unis et leurs alliés directs en tête) a bien évidemment rapproché Moscou et Pékin, soucieux de faire contrepoids à l’hégémonie américaine, avec un avantage initial à l’URSS, puissance nucléaire et industrielle qui a servi de modèle pour la modernisation de la Chine populaire dont la majorité des habitants vivaient encore sur un modèle majoritairement rural et quasi-féodal. Le pacte sino-soviétique de 1950 avait été signé dans le sens d’une coopération équitable mais le virage politique pris en URSS après la mort de Staline (1953) et les critiques chinoises au sujet de la légitimité et de la pureté de l’idéologie communiste ont rapidement envenimé les relations entre Pékin et Moscou et les Soviétiques sont rapidement devenus plus réticents à aider les Chinois au développement de leur technologie moderne. Des documents déclassifiés de la CIA ont révélé que les Chinois reprochaient aux Soviétiques de ne plus les soutenir dans la construction de leur dissuasion nucléaire dès la fin des années 1950. La tension montant entre les deux nations finit par aboutir en 1969 à un conflit ouvert mais heureusement limité (Pékin disposait de l’arme atomique depuis 1964 et de la capacité thermonucléaire depuis 1967, un an avant la France elle-même) causé par un classique différend frontalier dans la région du fleuve Oussouri. Le divorce fut dès lors consommé entre les deux pays qui continuèrent à avoir des relations difficiles jusqu’à la fin de l’URSS (1991). Il faut se souvenir que la crainte des Chinois était de se retrouver isolés tant par l’amélioration des relations américano-soviétiques à partir de 1972 que par le jeu indirect de l’URSS avec l’Inde. La carte indienne a en effet logiquement été utilisée par Moscou, gros fournisseur de matériel militaire à New Delhi depuis les années 1960, avec une accélération après la guerre indo-pakistanaise de 1971. La normalisation des relations entre Moscou et Pékin n’est arrivée qu’après la fin de l’URSS et elles ont connu une amélioration graduelle depuis, avec une accélération ces dernières années. Si l’on regarde l’histoire des relations sino-russes, on voit donc qu’il y a une méfiance mutuelle même lorsque les deux pays ont des intérêts objectivement convergents. Il serait un peu trop optimiste de parler d’amitié car la Chine a maintenant une ambition mondiale à l’horizon 2050, comme en témoigne le « Livre Blanc » chinois de juillet 2019 (à l’horizon 2049, plus précisément, car ce sera l’année du centenaire de la Révolution chinoise) et il est difficile de penser que ses actions (le projet One Belt, One Road des nouvelles routes de la soie, notamment) ne finiront pas par entrer en opposition avec les ambitions de renaissance mondiale de Moscou (dans le Caucase, en Afrique ou ailleurs). Malgré une économie relativement faible par rapport à la taille du pays (PIB équivalent à celui de l’Italie), Moscou semble craindre de se retrouver sous contrôle de Pékin sur son point faible (on voit ici encore la peur de la Russie de perdre sa souveraineté de façon humiliante comme pendant les terribles années 1990 qui expliquent, en partie, la popularité actuelle de Vladimir Poutine, lui-même victime de l’effondrement de son pays, ce qu’il a qualifié d’événement le plus important du XXème siècle à plusieurs reprises).

T.B. : Depuis quand date l’intensification d’une coopération entre la Chine et la Russie dans les domaines stratégiques économiques et militaires ?

T.F. : L’alliance objective entre Moscou et Pékin n’est pas toute récente. Avec la reprise de relations plus saines et quasi-amicales entre les deux pays à la disparition de l’URSS en 1991, elle s’est affermie au fur et à mesure que l’opposition à la politique hégémonique unilatérale des États-Unis a grandi. Le bombardement de la Serbie sans mandat ONU lors de la crise du Kosovo en 1999 (avec la frappe américaine controversée sur l’Ambassade de Chine à Belgrade) et l’invasion de l’Irak en 2003, à partir d’un dossier monté de toutes pièces par le leadership américain et ses alliés britanniques ont plus qu’entamé la confiance de Moscou et Pékin et les ont visiblement convaincus qu’un contre-pouvoir non-occidental devait être mis en place afin de respecter un équilibre multilatéral empêchant Washington de disposer d’un monopole militaire, économique et culturel sans opposition. La création de l’Organisation de Coopération de Shanghai (OCS) en 2001 (succédant aux « 5 de Shanghai » de 1996) est la matérialisation de cette opposition qu’on pourrait voir comme un non-alignement sur la vision anglo-saxonne d’une pax americana dont les résultats concrets sont facilement contestables du point de vue de la démocratie et du développement économique (dislocation catastrophique du Moyen-Orient et soutien à des régimes sunnites dictatoriaux, extraterritorialité scandaleuse du droit américain, espionnage massif de la NSA sous prétexte de sécurité des États-Unis, pour ne citer que ces exemples). Avec la montée des tensions en Baltique et en Ukraine depuis 2013, en Syrie en 2014 et au Moyen-Orient (Iran) depuis le retrait américain de l’accord sur le nucléaire iranien en 2018, l’alliance objective sino-russe s’est renforcée avec la désignation de l’OTAN par Moscou (maintenant directement visée dans les documents stratégiques officiels russes) comme étant une menace pour l’intégrité de la Russie et la désignation récurrente des États-Unis comme menace pour la liberté d’action de Pékin, en Mer de Chine en particulier. Ceci explique que Pékin et Moscou cherchent à peser de tout leur poids stratégique pour dissuader Washington d’aller trop loin dans ses velléités d’expansion, par exemple en ce qui concerne l’élargissement de l’OTAN par l’intégration de nouveaux pays d’Europe de l’est ou des Balkans. A ce sujet, les manœuvres navales sino-russes en Baltique en 2017, une première, furent bien évidemment remarquées avec inquiétude par les pays de la région. On peut aussi citer l’exercice militaire massif Vostok de septembre 2018, avec un déploiement de 300 000 soldats russes et une participation chinoise plus modeste mais clairement mise en avant par la communication des deux pays. Nous pouvons imaginer que la cristallisation (voire la radicalisation ?) des différentes positions stratégiques des trois pays (États-Unis, Chine, Russie) risque de confirmer l’alliance objective sino-russe dans les prochaines années avec néanmoins l’inconnue de l’élection présidentielle américaine de novembre 2020 (un Joe Biden président des États-Unis œuvrerait-il vraiment pour réduire les tensions actuelles ou serait-il simplement l’acteur de la politique de domination standard de Washington mais avec un style vraisemblablement différent de D. Trump ?).

T.B. : De quoi sont faits les échanges entre ces deux pays ?

T.F : Les échanges entre les deux pays sont assez stéréotypés même s’ils ont humainement et culturellement évolué dans le temps depuis la chute du Mur (l’affichage en chinois dans les gares russes, même à Saint-Pétersbourg, est là pour en témoigner). Il s’agit essentiellement d’armement (avions, missiles et systèmes anti-missiles, systèmes navals) et d’énergies (pétrole et gaz) pour la Chine et d’équipements industriels pour la Russie, suivant le vieux principe de l’intérêt mutuel - les Chinois bénéficiant de l’expertise militaire et du gaz russes et les Russes bénéficiant des investissements chinois dont la partie extrême-orientale de leur territoire, entre autres régions, a tant besoin (la moitié des équipements industriels russes de cette région sont chinois). A noter également la signature d’un accord en 2019 pour que le géant chinois des technologies de l’information et de la communication Huawei développe la 5G en Russie. Les échanges commerciaux ont dépassé les $100 mds en 2018 et ils sont encore en train de croître (Vladimir Poutine a déclaré en 2019 qu’il voulait les porter à $200 mds). Il est à noter qu’un effort de dédollarisation des échanges est en cours en Russie et en Chine afin de réduire la dépendance au dollar américain et d’être moins vulnérables aux sanctions économiques décidées à Washington, comme celles qui ont frappé la Russie après l’annexion de la Crimée dès 2014 et l’Iran après le retrait américain de l’accord de Vienne en 2018. Exemple concret de cet effort, un système de virement alternatif indépendant du système SWIFT américain a été mis en place dans les 2 pays (d’autres BRICS ayant exprimé la volonté d’en faire de même, même si l’on sait déjà que ce processus s’inscrira sur une durée plus ou moins longue). En ce qui concerne le domaine de défense et de sécurité, des exercices militaires conjoints assez récurrents ont maintenant lieu mais on peut imaginer que le désir de Moscou de ne pas devenir dépendant de qui que ce soit et les ambitions stratégiques gigantesques de la Chine contribuent à entretenir une certaine méfiance et limitent plus que drastiquement une quelconque coopération dans les domaines hautement stratégiques du cyber et du nucléaire.

T.B : Quelles sont les intentions stratégiques russes et chinoises au niveau géopolitique ? Que font les services de renseignements extérieurs de ces deux pays ?

T.F : Les relations entre les deux géants voisins sont très logiquement conséquentes et difficilement contournables sans nuire à l’économie de l’un ou de l’autre (la Chine est le premier partenaire commercial de la Russie) mais c’est plus une relation d’intérêt avec une complicité qu’une amitié et à plus long terme, on peut s’attendre à des surprises. Les deux pays ne sont pas des démocraties au sens où nous l’entendons dans l’UE donc les décisions sont prises de haut en bas (« top-down ») et imposées aux échelons inférieurs car elles sont considérées comme la marche à suivre pour garantir la liberté d’action, en particulier par rapport à l’ogre économique et militaire américain. Ceci peut d’ailleurs gêner de potentiels partenaires asiatiques à la culture d’entreprise différente (ex. de bas en haut, « bottom-up ») et limiter les opportunités de coopération. Il y a beaucoup de duplicité dans cette relation pour des raisons historiques, géopolitiques et culturelles. La Chine se voit reprendre à terme sa place de première puissance mondiale et utilise à cet effet toute sa puissance économique (« soft power » gagnant-gagnant particulièrement visible en Afrique) tout en dissuadant d’éventuels adversaires avec son armée en permanente modernisation. La Russie, elle, exploitant les erreurs et les échecs des démocraties occidentales (comme en Syrie) revient pas à pas sur le devant de la scène internationale comme un acteur incontournable mais à une échelle plus modeste que l’URSS avec toujours en arrière-plan cette crainte du déclassement, de l’humiliation, de la vassalisation qui a marqué Vladimir Poutine (alors officier du KGB en poste en RDA) lors de l’effondrement de l’URSS suivi par l’arrivée rapide d’investisseurs américains en Russie dans les années 1990. L’approche russe est une approche de reconquête, qui est donc plus agressive, même si la Russie utilise aujourd’hui des moyens plus subtils que lors de la Guerre froide – ce que certains ont appelé « guerre hybride » en parlant de la crise ukrainienne bien que l’emploi combiné de moyens et de concepts militaires et non-militaires ne date pas du XXIème siècle, loin s’en faut. Pour les deux pays, il est à noter que les services de renseignement jouent un rôle primordial et ils sont surdimensionnés par rapport à des services occidentaux comme la DGSE française ou le MI6 britannique : pour Pékin, priorité sur le recueil omnidirectionnel du renseignement pour accélérer le développement technologique de très haut niveau et combler le retard tout en limitant les dépenses de recherche et développement (témoin l’article 14 de la loi sur le renseignement national de 2017 faisant potentiellement de chaque citoyen chinois un agent en puissance) – pour Moscou, utilisation des services de renseignement chers à V. Poutine qui en est lui-même issu pour détruire, disloquer, harceler ou punir les ennemis de la Russie. Comme en témoigne la cyberattaque de 2007 contre l’Estonie, l’infiltration du Donbass par des forces spéciales russes et des personnels du GRU pour saper les efforts ukrainiens et renforcer les séparatistes pro-russes ou encore la tentative avortée de pénétration cyber des réseaux d’information et de communication de l’OIAC à La Haye par une équipe du GRU en octobre 2018. Cette alliance d’intérêt convergents décentre le centre de gravité des affaires internationales vers la zone eurasienne (Obama ne s’y est pas trompé lorsqu’il a révélé sa stratégie Pivot to East Asia en 2012), avec le risque de dégarnir les pays européens de l’OTAN de forces militaires, ce qui pourrait être vu par Moscou comme une opportunité pour gagner d’autres gages territoriaux en déstabilisant des zones de l’ex-sphère soviétique (États baltes, Moldavie, etc...).

T.B. : Quelle est la fonction de l’Organisation de Coopération de Shanghai (OCS) ? Quelle influence possèdent la Chine et la Russie au sein de cette organisation ? Est-ce un « remake » du Pacte de Varsovie (1955-1991) de la Guerre froide ?

T.F. : L’Organisation de Coopération de Shanghai (OCS) est une initiative importante pour contrebalancer la puissance politique et économique occidentale mais elle garde ses spécificités par rapport à d’autres initiatives de coopération et de défense-sécurité comme l’OTAN. L’OCS, dont le secrétariat est à Pékin rassemble 50% de la population mondiale avec les deux pays les plus peuplés de la planète, la Chine et l’Inde. Elle compte également 4 puissances nucléaires (Russie, Chine, Inde et Pakistan) alors que l’OTAN en compte 3 (États-Unis, France et Royaume-Uni). En son sein, c’est essentiellement la Chine et la Russie qui montrent la voie, la Chine apportant sa puissance économique en premier lieu et la Russie son expertise et son expérience militaires. Si l’on compare l’OCS au Pacte de Varsovie créé en 1955, on voit qu’il y a encore moins d’unité culturelle ou idéologique dans cette organisation actuelle regroupant un peu artificiellement des pays de la sphère d’influence russe (ex-URSS comme le Tadjikistan ou l’Ouzbékistan) aux capacités économiques ou militaires limitées mais aussi des pays nucléaires qui sont ouvertement en conflit depuis des décennies, ce qui pourrait déstabiliser l’organisation de façon interne. Le différend indo-pakistanais semble en effet nettement plus grave que les tensions gréco-turques en Méditerranée et il n’est pas sûr que leur intégration au sein de l’OCS calme le jeu sur le long terme comme l’élargissement de l’OTAN de 1952 avait permis à Washington de s’assurer de la partie orientale de la Méditerranée, zone instable et point faible face aux Soviétiques. En outre, au sein du Pacte de Varsovie, c’était Moscou qui donnait le la vis-à-vis des pays satellites et les événements de Budapest en 1956 ou de Prague en 1968 ont montré la liberté d’action politique très limitée dont ces pays satellites disposaient s’ils envisageaient un chemin différent de celui du Kremlin. Aujourd’hui, la crédibilité de l’OCS dépend de la bonne entente entre Pékin et Moscou (satisfaction des intérêts mutuels et réduction des rivalités potentielles) mais aussi des relations saines entre ces deux pays leaders et les deux membres plus récents, Inde et Pakistan. Les graves incidents frontaliers de juin 2020 entre la Chine et l’Inde (une vingtaine de soldats indiens tués lors d’accrochages avec des militaires chinois au Ladakh, zone du nord de l’Inde) laissent présager une harmonie et une confiance mutuelle peut-être un peu plus difficiles à assurer qu’au sein de l’Alliance Atlantique. Enfin, contrairement aux membres de l’OTAN (cf. Afghanistan, Libye, Syrie), les Chinois, les Russes et les autres membres de l’OCS ne combattent pour le moment pas ensemble dans des opérations militaires de haute intensité. L’OCS apparaît au final comme une manœuvre stratégique logique et évolutive, avec la participation récente de l’Iran (état observateur de l’OCS depuis 2005) dans un exercice naval sino-russe mené en Mer d’Oman et dans l’Océan Indien en décembre 2019 (les manœuvres militaires sino-russes étant maintenant devenues des procédures plus qu’habituelles). Cet ensemble est peut-être plus fragile que ne l’a été l’OTAN jusqu’à maintenant, quand bien même l’Alliance serait obsolète ou encore pire en état de mort cérébrale (avec une Turquie s’appuyant sur une politique provocatrice) pour reprendre les mots de Donald Trump en 2017 et ceux d’Emmanuel Macron dans une interview de The Economist en novembre 2019.

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Les relations stratégiques sino-russes, Xi Jinping et Vladimir Poutine : un nouvel axe rouge ? Entretien avec Thierry Fortin
Pierre Verluise
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