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Synthèse de l’actualité internationale de février 2023

Par Axelle DEGANS*, le 1er mars 2023.

Les faits les plus marquants de février 2023 : Un séisme révélateur de tensions géopolitiques ; La France accuse un nouveau déficit commercial record ; Discours et grandes manœuvres militaires ; En Asie, une prévention croissante envers la Chine ; Un an de guerre russe en Ukraine.

Voici la précieuse synthèse d’Axelle Degans qui sera fort utile à tous ceux qui veulent disposer d’un point de l’actualité géopolitique mondiale, suivent la spécialité #HGGSP voire préparent un concours ou un entretien de recrutement. Pour ne rien manquer, et recevoir nos alertes sur des documents importants, le plus simple est de s’abonner gratuitement à notre Lettre d’information hebdomadaire ou au compte twitter de veille géopolitique @diploweb. Ce compte de veille géopolitique dépasse le seuil de 20150 followers dont de nombreuses pointures du domaine dans de nombreux pays. Vous serez en bonne compagnie.

Le sort des urnes

À Chypre, les élections présidentielles de février 2023 ont été remportées par Nikos Christodoulides avec un peu plus de 51% des suffrages. Ancien ministre des Affaires étrangères chypriote, le nouveau président a de nombreux défis à relever, concernant le dossier d’une possible réunification de l’ile, la lutte contre la corruption qui a dominé la campagne électorale, ainsi que le dossier de l’arrivée de nombreux migrants sur le territoire chypriote qui est plus que jamais d’actualité après le séisme en Turquie.

Le séisme en Turquie et Syrie, un révélateur des tensions géopolitiques

Un violent tremblement de terre – 7,8 sur l’échelle de Richter – et ses répliques ont frappé la région frontalière turco-syrienne le 6 février 2023. Il aurait détruit environ 118 000 bâtiments et causé plus de 45 000 victimes, essentiellement en Turquie, mais la fédération turque des médecins, TTB, estime que le bilan humain est largement minoré. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) évalue à 26 millions le nombre de personnes directement affectées par cette catastrophe. Plusieurs répliques de forte intensité ont causé d’autres destructions et d’autres drames. La faille anatolienne reste active, elle court comme une longue balafre sur les territoires.

Une catastrophe d’une telle ampleur a d’inévitables conséquences géopolitiques. Au-delà de l’élan de générosité, au demeurant peu étonnant, que suscite ce drame, il est symptomatique que l’Azerbaïdjan et le Qatar soient parmi les premiers à agir, et de façon substantielle : Bakou doit sa victoire face à l’Arménie au soutien turc et Qatar et Turquie sont dirigés par des forces politiques liées au mouvement des Frères musulmans. L’incurie des autorités dans l’organisation des secours a éclaté en pleine lumière. Cela portera-t-il préjudice au président Erdogan lors des élections qui se tiennent au printemps prochain ?

La Syrie, certes touchée dans une moindre mesure, suscite moins d’empathie à l’international. La région d’Alep est meurtrie, comme celle d’Idlib, région rebelle au pouvoir de Bachar el-Assad, tenue par les islamistes. Certes les Russes, les Irakiens et les Iraniens ont proposé d’envoyer des équipes de secours, mais le porte-parole américain, Ned Price, déclare : « il serait ironique, voire contre-productif, pour nous, de vouloir aider un gouvernement qui a brutalisé son peuple ses douze dernières années » alors que le secrétaire d’État américain, Anthony Blinken a effectué en février 2023 une visite de deux jours en Turquie, assurant l’assistance de son pays malgré des relations parfois ombrageuses. La Finlande et la Suède, auxquelles la Turquie refuse l’adhésion à l’OTAN, se sont montrées généreuses. L’Arménie tend aussi la main à Ankara, pour une normalisation des relations diplomatiques. Un poste frontière, sous contrôle de l’ONU, est ouvert entre la Turquie et la Syrie, ce qui permet l’acheminement de l’aide. Ankara veille à contrôler l’aide internationale, qui pourrait moins se diriger vers la région d’Antioche qui vote peu pour l’AKP, parti du président Erdogan, la population s’en est d’ailleurs plaint. Enfin, ce tremblement de terre est un terrible désaveu de la politique autoritaire menée par l’actuel président. Visiblement peu de constructions sont réellement antisismiques, et la lenteur de la réaction d’Ankara a provoqué de nombreuses critiques, le pouvoir d’Erdogan en sort fragilisé. Une vague migratoire est plausible. La Banque mondiale évalue à 34 milliards de dollars les dégâts en Turquie.

Le Tadjikistan est lui aussi victime de séismes assez violents, d’une magnitude de 6,8. Le bilan est fort heureusement sans commune mesure avec ce qui s’est passé en Turquie, en raison de la faible densité de population de la région. Il existe toutefois des inquiétudes concernant de possibles brèches dans le barrage du lac de Sarez.

Dr. Axelle Degans
Degans/Diploweb

La France accuse un nouveau déficit commercial record

La France ne parvient pas à redresser sa balance commerciale, malgré les politiques engagées depuis quelques années. Les importations ont progressé de 29% en 2022, certes du fait de la flambée du poids de la facture énergétique, mais pas seulement. Avec un déficit de 164 milliards d’euros, la France a des raisons objectives de s’inquiéter. Ce déficit était de 60 milliards d’euros en 2019, avant la pandémie. Au-delà du coût des hydrocarbures et de la faiblesse de l’euro qui aggrave la facture, la France paie aussi ses importations d’électricité – alors qu’elle la vendait à ses voisins il y a peu – et surtout l’ampleur de sa désindustrialisation – bien analysée par François Bost – puisque l’industrie manufacturière représente désormais seulement 9% de la richesse produite en France, la moitié de son niveau en 2000. L’Italie ou la République tchèque font mieux que la France dans ce domaine. Le luxe, l’aéronautique, sont des arbres qui cachent la forêt. La France continue à exporter ses services, mais importe tout ce qu’elle ne produit plus. La sécurité économique s’impose comme un impératif tant géoéconomique que géopolitique.

Le Royaume-Uni et le Brexit

Les Britanniques sont dans une situation économique difficile, liée au Brexit mais aussi aux conséquences de la guerre en Ukraine qui provoque des ruptures d’approvisionnement et une flambée du coût de l’énergie. L’État est, outre-Manche, moins interventionniste qu’en France, les conditions de vie se sont donc plus durcies. La croissance économique britannique est en berne et le pays souffre, depuis l’épidémie, d’une pénurie de main d’œuvre.

La Première ministre d’Ecosse, Nicola Sturgeon, qui souhaitait amener l’Ecosse à l’indépendance, a annoncé sa démission.

Londres et Bruxelles se sont rencontrés pour évoquer le cas de l’Irlande du Nord et trouver un accord.


Pour faire la différence, bénéficiez des Masterclass géopolitiques du Diploweb

. Jean-Robert Raviot, C’était quoi l’URSS ?

. Kevin Limonier, Pourquoi les données numériques sont-elles géopolitiques ?

. Pierre Verluise, Quels sont les fondamentaux de la puissance ?


Le temps des discours

Joe Biden a prononcé son discours de l’Union le 7 février 2023. Il s’agit d’un discours rassembleur destiné à une société américaine particulièrement fracturée, qui souffre de l’inflation, et à une Chambre des représentants à majorité républicaine (le Sénat est resté démocrate). Ce discours a beaucoup porté sur des questions économiques, au centre des préoccupations des Américains, c’est aussi une nécessité car le président devra négocier avec les Républicains pour un nouveau relèvement du plafond de la dette publique. La politique étrangère a pris moins d’importance que l’année passée, mais il a rappelé son soutien aux Ukrainiens – qui est désormais contesté par une partie des élus – et s’est montré très ferme vis-à-vis de la Chine accusée d’envoyer des ballons espions.

Dans un discours prononcé en février, Vladimir Poutine dénonce l’Occident accusé de mener une lutte résolue contre la Russie. Sa représentation est celle d’une Russie qui mène un conflit civilisationnel pour protéger ses valeurs et accuse l’Ukraine d’abriter des "néo-nazis". Il affirme passer à une économie de guerre pour pouvoir mener une guerre de temps long, ce que craignent les Occidentaux et les Ukrainiens. Il annonce suspendre la participation de la Russie au traité New Start, se réservant la possibilité de procéder à de nouveaux essais nucléaires.

Xi Jinping prononce en février 2023 un discours centré sur l’autonomie stratégique de son pays en matière technologique. Le bras de fer avec Washington continue. Il s’est d’abord cristallisé autour de Huawei. En février Tiktok est accusé de pouvoir accaparer les données de ses utilisateurs, et des semi-conducteurs… Un découplage technologique s’annonce, organisé autour d’une bipolarisation sino-américaine, laissant l’Europe, décrochée, largement en retrait. Il propose aussi, un plan de paix, une annonce vraiment inédite, concernant la guerre en Ukraine. Il invite à une désescalade de la violence pour parvenir à un cessez-le-feu. Là où les Occidentaux espéraient une condamnation de la guerre menée par la Russie en Ukraine et une demande de départ des troupes russes, la Chine demande de ne pas recourir à l’arme nucléaire et de respecter l’intégralité territoriale. Pékin ne souhaite pas, à l’évidence, une aggravation du conflit en Ukraine, mais montre une certaine solidarité avec la Russie, considérant l’extension de l’OTAN à l’Europe orientale comme agressive.

Toujours la violence

La violence ne se tarit pas au Proche-Orient. Aux tirs de roquettes tirées depuis la bande de Gaza succède une opération de bombardement menée par Tsahal en février 2023. Israël envisage de poursuivre la politique de colonisation en Judée-Samarie. Les représentants israéliens et palestiniens se sont rencontrés à Aqaba – en Jordanie – pour essayer de prévenir la flambée de violence. Pourtant, l’assassinat de deux Israéliens en Cisjordanie provoque des représailles menées par des colons qui ont brulé plusieurs dizaines de maisons palestiniennes à Huwara .

Le temps des manœuvres militaires

La France organise – dans le contexte de la guerre russe en Ukraine – « Orion ». Il s’agit d’un exercice militaire interarmées d’une rare dimension auquel participent quelques 7 000 soldats simulant une intervention dans un pays déstabilisé par un pays voisin puissant…. Cet exercice aéroporté - il mobilise notamment les parachutistes – comporte aussi une simulation aérienne et navale. Et bien sûr une dimension cyber. Toutes les dimensions d’une guerre de haute intensité sont présentes dans cet exercice de très grande ampleur.

Les marines russe, chinoise et sud-africaine participent à des manœuvres navales inédites qui sont avec le déploiement de missiles hypersoniques Zircon embarqués sur la frégate Amiral Gorchkov. Il s’agit à l’évidence d’une démonstration de force qui sert aussi à prouver que la Russie n’est pas isolée et qu’elle peut compter sur des alliés malgré son engagement dans la guerre en Ukraine.

En Asie, une prévention croissante envers la Chine

Les Philippines et le Japon contractualisent un rapprochement d’ordre militaire, prévoyant des exercices communs comme la possibilité d’un déploiement sur le territoire de son voisin – « un accord d’accès réciproque » - en cas de besoin.

Le Japon devrait exporter moins de matériels sensibles et stratégiques en direction de la Chine pour mieux freiner sa production de semi-conducteurs.

Une recomposition du jeu géopolitique mondial

Taiwan se rapproche davantage des Etats-Unis.

L’Australie se méfie désormais des caméras de Hikvision et Dahua, deux sociétés chinoises avec lesquelles les Etats-Unis refusent de travailler.

À l’ombre de la guerre qui se joue sur le sol ukrainien, l’Europe se ré-OTANise. Alors que Moscou escomptait un affaiblissement de cette alliance militaire qu’elle perçoit comme antirusse, les Etats-Unis l’ont revivifiée en s’appuyant sur les pays d’Europe centrale et orientale et incitent ses membres à passer à une économie de guerre. La Finlande et la Suède demandent à y entrer.

La Chine et les Etats-Unis s’opposent comme en témoigne l’affaire des ballons. La Chine n’a pas condamné l’agression russe de l’Ukraine. Elle se rapproche des pays du Golfe, le dirigeant chinois a été bien reçu à Riyad en décembre 2022, ce qui n’avait pas été le cas de Joe Biden lors de sa tournée de l’été. La Chine se rapproche aussi de l’Iran, qui a livré des drones à la Russie.

Le temps des OVNIS ?

Les Américains ont abattu un ballon sonde d’origine chinoise survolant le Montana se déplaçant vers la côte Atlantique. Malgré des récriminations de Pékin les autorités de Washington ont décidé de détruire ce qu’elles considèrent comme un ballon espion. Ce n’est pas une première, d’autres ballons ont survolé des iles américaines du Pacifique, et aussi les iles aléoutiennes. Alors que le chef de la diplomatie– Wang Yi – présente la Chine comme « un pays de la paix », le Japon comme les Etats-Unis et de nombreux autres pays considèrent comme une intrusion le survol de leur territoire ces ballons embarquant beaucoup d’électronique. Pékin en aurait lâché une quarantaine, faisant craindre une guerre électronique du renseignement.

Des ballons ont déjà survolé le territoire américain lors de la précédente administration, mais Donald Trump avait choisi de ne pas porter l’affaire en place publique, à la différence de Joe Biden. Son secrétaire d’État, Anthony Blinken, annule la visite prévue en février 2023 à Pékin donnant à l’affaire un tour d’incident diplomatique. À l’évidence, les relations américano-chinoises se durcissent dans le contexte de guerre en Ukraine, et de fortes tensions autour de Taiwan.

Un an de guerre en Ukraine

La relance de la guerre russe en Ukraine le 24 février 2022 a déjà fait plus de deux cent mille morts, probablement plus de trois cents. Auxquels il faut ajouter 3 à 4 fois plus de blessés. La Russie a la responsabilité du déclenchement du conflit.


Bonus vidéo. Un an de guerre en Ukraine. Carte évolutive, par AB Pictoris


A une première phase pour conquérir le pouvoir à Kiev succède une deuxième phase marquée par un reflux des troupes russes vers la partie orientale de l’Ukraine et depuis la fin de 2022, le conflit s’enlise voire s’enterre, rappelant la phase de la guerre de position de la Première Guerre mondiale. Des combats particulièrement meurtriers se déroulent dans la région de Bakhmout. La situation militaire n’est gagnée ni dans un camp, ni dans l’autre. La résilience du peuple ukrainien est remarquable. La guerre menée par les Ukrainiens est soutenue à bout de bras par les Occidentaux qui peinent à faire face aux besoins en armes et munitions alors que la Russie démontre, de façon peu prévisible, qu’elle est capable de soutenir une guerre de haute intensité, certes localisée, depuis une année. La question de la paix, nécessaire, reste posée dans toute sa complexité. Peu de réponses y sont apportées.

La guerre est donc revenue sur le sol de l’Europe géographique, une première depuis celle qui a ravagé l’ex-Yougoslavie dans les années 1990. Les Européens ont montré qu’ils étaient capables de prendre des sanctions fortes contre la Russie, quitte à ce qu’elles les pénalisent : c’est le retour de l’inflation qui ronge le niveau de vie des ménages, mais aussi le questionnement concernant le choix de l’interdépendance qui implique une dépendance et soulève la question de la souveraineté, dont la déclinaison alimentaire trouve un écho lors du Salon de l’agriculture fin février – début mars 2023.

La guerre en Ukraine est aussi un révélateur des fractures mondiales car les Occidentaux n’ont pas été massivement suivis dans leur condamnation de l’agression russe. En fait, l’essentiel de l’humanité s’est gardé de prendre position et de condamner la Russie. Ainsi, le G20 financier, réuni à Bangalore en Inde fin février 2023, n’a pas été en mesure de s’accorder sur un communiqué commun, notamment parce que Pékin ne veut pas condamner la guerre qui se déroule sur le sol ukrainien. L’UE, en dépit des efforts de ses ambassadeurs, peine à convaincre les pays des Sud de condamner l’agression russe.

Joe Biden s’est rendu à Kiev en février 2023 pour réaffirmer son soutien à l’Ukraine en guerre. Il s’est rendu ensuite à Varsovie. La Pologne tient une place importante sur l’échiquier américain. En retour, Varsovie achète du matériel américain, militaire et nucléaire civil. La Pologne annonce sa volonté de porter ses dépenses militaires à 4% de son PIB, proportionnellement les dépenses les plus élevées des membres de l’OTAN. La Pologne appartiendrait alors à un dispositif défensif qui va de la mer Baltique à la mer Noire. L’influence de Washington a beaucoup grandi en Europe centrale et orientale. Il est vrai que depuis des décennies nombre de pays de l’Union européenne ont tout fait pour empêcher l’émergence d’une défense européenne.

Bonnes nouvelles

L’ONU demande à l’Azerbaïdjan met mettre fin au blocus mené contre les Arméniens vivant sur le plateau du Haut Karabakh.

La France continue à attirer les investissements étrangers, 1725 projets sont enregistrés pour l’année 2022.

Selon Atout France, le tourisme a repris de la vigueur grâce aux Européens et aux Américains, une bonne nouvelle.

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Plus

Bonus Podcast P. Verluise Comment préparer et réussir un oral - une colle - de Géographie ou Géopolitique ?

Extraits du catalogue des livres géopolitiques publiés par Diploweb pour la réussite aux concours.

. Florent Parmentier, Pierre Verluise (sous la dir.), "Géopolitique de l’Europe trois décennies après l’ouverture du Rideau de fer", éd. Diploweb via Amazon

. Patrice Gourdin, "Manuel de géopolitique, éd. Diploweb via Amazon"

. Pierre Verluise (dir.), "Géopolitique du monde de Trump. La stratégie du chaos ?" éd. Diploweb via Amazon

. Pierre Verluise (dir.), "Histoire, Géographie et Géopolitique de la RUSSIE et de ses frontières" , éd. Diploweb via Amazon

. P. Verluise (dir.), "Histoire, Géographie et Géopolitique de l’Union européenne. A l’heure du Brexit".

. P. Verluise (dir.), "Histoire, Géographie et Géopolitique de l’Asie. Les dessous des cartes, enjeux et rapports de force".

. P. Verluise (dir.), "Histoire, Géographie et Géopolitique du Proche et du Moyen-Orient. Les dessous des cartes, enjeux et rapport de force"

. P. Verluise (dir.), "Histoire, Géographie et Géopolitique de la mondialisation contemporaine. Les dessous des cartes, enjeux et rapports de force"

. S. Schmit, "Histoire, Géographie et Géopolitique de l’Amérique latine : Un sous-continent en pleine transition politique, énergétique et commerciale. Dossiers et fiches pays"

. L. Chamontin, "Ukraine et Russie : pour comprendre"

. L. Bloch, "L’Internet, vecteur de puissance des États-Unis ? : Géopolitique du cyberespace, nouvel espace stratégique"


Encore plus pour réussir, varier vos références :

Les think-tanks allemands : mode d’emploi, par Antonin Dacos, sur Diploweb.com

Les think-tanks espagnols (et hispanophones), par Marie-Caroline Reynier, sur Diploweb.com

Les think tanks en langue anglaise (Etats-Unis et Royaume-Uni) mode d’emploi, par Gabrielle Gros, sur Diploweb.com

*

Docteure en Géopolitique de l’Université de Reims Champagne-Ardenne. Membre du Conseil scientifique du Diploweb.com. Agrégée d’histoire, Professeure de chaire supérieure au lycée Faidherbe (Lille) où elle enseigne la géopolitique en classes préparatoires économiques et commerciales. Auteure de nombreux ouvrages.


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Citation / Quotation

Auteur / Author : Axelle DEGANS

Date de publication / Date of publication : 1er mars 2023

Titre de l'article / Article title : Synthèse de l’actualité internationale de février 2023

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Les faits les plus marquants de février 2023 : Un séisme révélateur de tensions géopolitiques ; La France accuse un nouveau déficit commercial record ; Discours et grandes manœuvres militaires ; En Asie, une prévention croissante envers la Chine ; Un an de guerre russe en Ukraine.

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