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Synthèse de l’actualité internationale de juin 2019

Par Axelle DEGANS, le 1er juillet 2019  Imprimer l'article  lecture optimisée  Télécharger l'article au format PDF

Agrégée d’histoire, Professeure de chaire supérieure au lycée Faidherbe (Lille) où elle enseigne la géopolitique en classes préparatoires économiques et commerciales. Membre du laboratoire HABITER (EA 2076) de l’Université Reims Champagne-Ardenne. Elle est notamment auteure de : A. Degans, Réussite aux concours 2019 ! La synthèse de l’actualité internationale 2018, éd. Diploweb, via Amazon, 2019.

Voici une synthèse de l’actualité internationale de juin 2019 qui sera fort utile à tous ceux qui veulent disposer d’un point de l’actualité géopolitique, voire finalisent les oraux d’un concours. Pour ne rien manquer, et recevoir nos alertes sur des documents importants, le plus simple est de s’abonner gratuitement à notre Lettre d’information hebdomadaire ou au compte twitter de veille géopolitique @diploweb (+ de 13 100 followers)

Les résultats électoraux

À Istanbul, en Turquie, le scrutin municipal du 31 mars 2019 avait été annulé pour éviter que la ville ne bascule dans l’opposition au pouvoir de l’AKP. Le 23 juin 2019, les stambouliotes ont confirmé leur vote, Ekrem Imamoglu a été élu maire avec une confortable majorité. Lors de ses premières déclarations, il a assuré vouloir agir en accord avec le président R. Erdogan, il n’en demeure pas moins qu’il s’agit d’un échec pour le président Erdogan et son parti l’AKP. La justice turque vient de condamner 151 personnes à des peines d’emprisonnement à perpétuité dans le contexte du putsch manqué de l’été 2016.

La Mauritanie organise des élections présidentielles, une première dans ce pays sahélien. Le président sortant ne se représente pas, c’est son dauphin Mohamed Ould Ghazouani qui remporte ces élections en juin 2019, et ce dès le premier tour. L’opposition dénonce une fraude électorale, l’armée et la police quadrillent la capitale Nouakchott où Internet a été coupé et les bureaux des autres candidats fermés. Ce pays reste l’un des plus pauvres de la planète puisque près de la moitié de la population vit dans la pauvreté (moins de deux dollars par jour) et la même proportion d’enfants n’est pas scolarisée. Les défis restent immenses pour développer ce pays.

En Algérie, les élections qui devaient initialement se tenir début juillet 2019 sont reportées sine die.

En Thaïlande, Prayuth Chan-ocha a été choisi en juin 2019 par le Parlement pour être le nouveau Premier ministre, fonction qu’il a déjà occupée.

Le Kazakhstan a été dirigé, depuis la disparition de l’URSS, par Noursoultan Nazarbaïev, jusqu’à sa démission surprise au printemps 2019. Il avait été réélu au cours d’élections qui n‘ont jamais été considérées comme libres par la communauté internationale. Ainsi, il avait obtenu plus de 90% des suffrages avec un taux de participation de 95%... Kassim-Jomart Tokaïev, président par intérim depuis la démission de l’ancien président, et dauphin de son prédécesseur, a été élu en juin 2019 avec près des trois-quarts des suffrages exprimés. Des centaines d’opposants ont été arrêtés dans un contexte de forte agitation sociale.

Synthèse de l'actualité internationale de juin 2019
Axelle Degans, La synthèse de l’actualité internationale 2019. Réussite aux concours 2020 ! éd. Diploweb via Amazon

La politique étrangère des États-Unis

Donald Trump effectue en juin 2019 une visite d’État au Royaume-Uni, cet allié de longue date a été accueilli avec beaucoup d’égards. A l’heure du Brexit, le Royaume-Uni n’a pas trop d’autre choix que de se rapprocher davantage des États-Unis, même si cela peut s’avérer parfois incommode. Donald Trump n’a jamais caché son soutien à un Brexit « dur ». Pour affaiblir l’UE ?

Washington continue à durcir le ton face à ses voisins. Après avoir renégocié, en position de force, le traité de libre-échange qui l’unit au Canada et au Mexique, les États-Unis ont obtenu un compromis dans la lutte contre l’immigration clandestine depuis l’Amérique latine. Cette immigration s’est en effet renforcée, et entre mars et mai 2019 : 100 000 personnes ont été arrêtées à la frontière mexicano-étatsunienne. Sous la menace de sanctions commerciales, le président mexicain Andrès Manuel Lopez Obrador a accepté en juin 2019 de renforcer le contrôle de son côté de la frontière avec les États-Unis, et d’accueillir davantage de migrants en provenance de Méso-Amérique. Washington continue à financer des programmes d’aide en direction de cette Amérique pauvre pour décourager le départ.

Donald Trump met un terme en juin 2019 aux tarifs douaniers préférentiels dont bénéficiaient nombre de produits indiens, continuant ainsi sa politique de fermeté commerciale pour diminuer l’abyssal déficit commercial des États-Unis. New Delhi décide en retour d’augmenter les droits de douanes sur une trentaine de produits américains, notamment agricoles.

Un rapport américain dénonce en juin 2019 les violences faites aux minorités religieuses en Inde, et notamment aux musulmans. New Delhi, déjà en contentieux avec Washington au sujet des taxes douanières, en a pris ombrage. Il est avéré que les tensions communautaires en Inde se sont avivées depuis quelques années.

Toujours la violence…

Au Sahel, la violence continue entre les Peuls, éleveurs, et les Dogons, cultivateurs-chasseurs. Un nouveau massacre – il répond à celui perpétré par les Dogons sur les Peuls en mars 2019 – a causé la mort de plusieurs dizaines de Dogons en juin 2019. Ces derniers accusent aussi les Peuls de s’être rapprochés des islamistes qui sévissent tout particulièrement au Mali. Ce conflit, qui relève d’un affrontement entre sédentaires et nomades, montre à quel point le Mali a perdu la maitrise de son territoire, et l’incapacité de son gouvernement à maintenir une certaine forme de stabilité. L’État au Mali n’a jamais été aussi absent, il n’apporte pas les services de base à la population, l’armée malienne n’est pas davantage une colonne vertébrale d’un pays désormais à la dérive où prospèrent les mouvements djihadistes malgré le G5 Sahel.

En Éthiopie, deux attaques ont provoqué en juin 2019 la mort de plusieurs hommes forts du pays. Ainsi, le chef d’État-major Seare Mekonnen a été assassiné par ses gardes du corps, alors qu’une tentative de coup d’État semble s’être déroulée dans la région septentrionale d’Amhara. La répression a déjà fait plus d’une cinquantaine de victimes, une vague d’arrestations concerne le parti NaMa. Le pays traverse, lui aussi, une crise d’une vraie gravité.

La région d’Ituri, au Nord-Est de la République démocratique du Congo est de nouveau le théâtre de violences qui ont provoqué l’exode de plus de 300 000 personnes. Dans cette région de l’Afrique des grands lacs se noue un tragique conflit entre les peuples Hema et Lendu, des éleveurs et des cultivateurs qui a fait déjà plus de 160 morts en juin 2019, majoritairement chez les Hema. Cet épisode tragique souligne, ici aussi, la faiblesse de l’État incapable d’assurer la sécurité de ses citoyens. Cette instabilité chronique a déjà été à l’origine d’une mission militaire européenne : la mission Artemis.

Au Soudan la répression a fait une centaine de morts en juin 2019. Omar el Bechir a été écarté du pouvoir, mais la situation est loin de s’être stabilisée et le pays s’éloigne encore davantage des rives de la démocratie. Londres a conseillé à ses ressortissants de quitter le pays, craignant une dérive vers la guerre civile.

Le Moyen-Orient reste une poudrière

Au large d’Oman un superpétrolier japonais et un superpétrolier norvégien ont été victimes d’attaques qui font resurgir en juin 2019 le spectre d’une possible – toute hypothétique – rupture d’approvisionnement en or noir et la grande fragilité de la situation des importateurs. Le Golfe persique, le détroit d’Ormuz et la mer d’Oman, forment une artère essentielle pour le transport des hydrocarbures, près de 20 % y transite. Les risques géopolitiques n’ont jamais disparu de la région, et n’ont pas l’intensité de ceux de l’époque de la guerre Iran-Irak (1980-1988), mais ils ont augmenté avec le soutien américain apporté à Riyad dans sa quête de leadership régional au détriment de Téhéran. Si les Américains sont autonomes en pétrole, les Européens ne le sont pas…

Washington y voit la main des Iraniens qui démentent toute responsabilité. Téhéran abat en juin 2019 un drone américain – un Global Hawk - qui survolait les approches de son territoire dans la région d’Hormozgan, sur les rives de la mer d’Oman. Cette escalade des tensions n’augure rien de bon, même si les principaux protagonistes affirment ne pas vouloir de conflit. Le président Donald Trump a renoncé in extremis à user de la force armée en réponse à la destruction du drone, estimant finalement que c’était « disproportionné ». Washington aurait en revanche lancé plusieurs cyberattaques, en particulier contre un service de surveillance du détroit d’Ormuz.

L’Iran annonce en juin 2019 ne plus se sentir tenu par l’accord signé en 2015 (JCPoA) concernant son programme nucléaire, et augmenter son stock d’uranium faiblement enrichi. Il s’agit d’une conséquence du revirement de la politique de Washington : Donald Trump a dénoncé le 8 mai 2018 l’accord signé en 2015 par son prédécesseur à la Maison Blanche liant le programme nucléaire iranien à la levée progressive des sanctions internationales pesant sur le régime des Mollahs.

En Égypte, l’ancien président frériste Mohammed Morsi est décédé en juin 2019 après une comparution au tribunal.

Les nouvelles de l’Union européenne

À l’issue des élections européennes, les tractations sont âpres pour le renouvellement des différents postes communautaires. La tête de la Commission européenne attise tout particulièrement les convoitises.

Alors que la Commission européenne était favorable à l’ouverture de négociations d’adhésion pour la Macédoine du Nord et l’Albanie en raison de leurs « progrès », Bruxelles ne donne finalement pas son accord au grand dam de ces pays des Balkans. La résistance de certains pays membres à une nouvelle phase d’élargissement explique ce revirement.

Après avoir annoncé être favorable à une « neutralité carbone pour 2050 », le Conseil européen de juin 2019 ne parvient pas à inscrire cet objectif dans son agenda. Si Paris et Berlin ont soutenu cette initiative, il n’en est pas de même des pays d’Europe centrale et orientale.

L’Union européenne a décidé en juin 2019 de prolonger les sanctions qu’elle applique à la Russie depuis l’annexion de la Crimée en mars 2014. En retour, la Russie décide de faire de même avec l’embargo décrété sur les produits alimentaires en provenance de l’Europe communautaire. Moscou réintègre néanmoins le Conseil de l’Europe après cinq années d’absence en sanction pour l’annexion de la Crimée (2014 - ).

L’Union européenne et le Vietnam signent en juin 2019 un accord de libre-échange qui supprime 99% des droits de douanes sur les produits échangés. Cet accord sera appliqué après son acceptation par le Parlement européen.

La Grèce a adressé en juin 2019 une demande très officielle de réparations à l’Allemagne au titre des dommages de guerre. Berlin lui a signifié une fin de non-recevoir.

La Pologne devrait recevoir sur son sol un nouveau contingent de deux milles soldats américains, après que Varsovie ait passé la commande de plus de trente avions de chasse F35. L’Union européenne semble encore éloignée d’une Europe de la défense.

L’aérospatiale européenne est fortement concurrencée par un challenger américain privé. En juin 2019, Space X a mis en orbite 24 satellites sur trois orbites différentes, une nouvelle réussite pour la firme d’Elon Musk. Il s’agit essentiellement de satellites de l’armée américaine et du Département de la Défense, ce qui illustre la grande proximité qui existe entre les entreprises de la « tech » américaine et le gouvernement. La force de Space X est d’utiliser des fusées Falcon Heavy réutilisable, ce qui diminue les coûts de lancement de façon très sensible.

Au 1er juillet 2019, la Finlande prend pour six mois la présidence tournante du Conseil européen (Union européenne). Elle promeut une Europe « durable », veut parvenir à la « neutralité carbone », et devra gérer le Brexit dont la date butoir a été repoussée au 31 octobre 2019. Elle promet aussi d’être vigilante sur l’État de droit, annonce faite en direction des pays d’Europe centrale et orientale.

L’Asie orientale entre le chaud et le froid

Le durcissement de la politique de Pékin vis-à-vis de Hong-Kong passe mal auprès de la population de cette ancienne cité-État. Après le « mouvement des parapluies » de 2014, les Hongkongais s’opposent en juin 2019 au projet de loi qui vise à pouvoir extrader vers la Chine continentale des personnes arrêtées à Hong-Kong. La mobilisation populaire, contre cette nouvelle atteinte à l’autonomie de cette cité rattachée à la République populaire de Chine en 1997, est d’une ampleur exceptionnelle car elle aurait mobilisé plus d’un million de personnes. Carrie Lam, à la tête de cette ancienne colonie britannique a préféré reculer… Pour combien de temps ? Les atteintes au statut spécial de Hong Kong (« un pays, deux systèmes ») se multiplient, l’étreinte de Pékin se fait toujours plus forte, mais il s’agit dans ce cas d’un échec tant pour Carrie Lam que pour les autorités de Pékin. Ce recul est probablement motivé par l’importance toute particulière de Hong Kong sur les scènes économique et financière chinoises.

Le chef de l’exécutif chinois, Xi Jinping, s’est déplacé en Corée du Nord pour rencontrer son homologue Kim Jong-Un. Le caractère exceptionnel de cette visite de juin 2019 permet d’éclipser le récent revers à Hong Kong et de se repositionner sur l’échiquier des relations internationales après un dialogue Trump-Kim sans l’intercession chinoise.

Lors du forum de l’ASEAN qui s’est tenu en Thaïlande en juin 2019, la Chine a fait la promotion de son Partenariat économique intégral régional, un accord de libre-échange au sein d’une Asie pacifique très dynamique mais qui souffre de la nouvelle politique commerciale des États-Unis et de son retrait des accords transpacifiques voulus par Barack Obama.

La FAO, organisme onusien pour l’alimentation et l’agriculture a changé de directeur général en juin 2019. A été choisi pour un mandat de quatre années le chinois Qu Dongyu, ce qui montre les nouvelles capacités d’influence de la Chine pour parvenir à ses objectifs, comme la place grandissante et nouvelle de ce pays dans la gouvernance mondiale. Pour mémoire, le directeur-adjoint du FMI est lui aussi chinois. L’une des principales missions de la FAO est la lutte contre la faim dans le monde.

Il y a trente ans se déroulait le massacre de Tiananmen (1989), la répression d’une contestation étudiante qui réclamait davantage de démocratie. L’omerta règne toujours à son sujet en Chine en 2019, il n’est pas référencé les moteurs de recherche chinois sur Internet, on n’en parle pas, un peu comme si cet événement n’avait pas existé. Tout est fait pour l’effacer de la mémoire collective. La répression et la reprise en main idéologique ne sont pas sans rappeler les mécanismes décrits par Georges Orwell dans son livre "1984". La société chinoise est fortement surveillée, et les nouveaux moyens numériques le permettent encore mieux qu’auparavant. Le contrôle de la dissidence est plus prégnant aujourd’hui qu’il y a trente ans.

Le Japon, hôte de la réunion du G20, profite de la visite officielle du président français pour harmoniser des positions communes pour défendre le multilatéralisme écorné par la politique commerciale des Etats-Unis et de la Chine et témoigner des préoccupations communes concernant l’escalade des tensions dans le golfe Persique.

Une situation tendue en Amérique latine

En juin 2019, l’ONU estime à environ 4 millions le nombre de Vénézuéliens qui ont fui leur pays depuis 2015, et plus d’un million depuis novembre 2018. La réouverture de la frontière avec la Colombie a provoqué une nouvelle vague d’exode qui témoigne du désarroi profond de la population et de l’impasse politique dans laquelle est ce pays.

Au Brésil, le président Jair Bolsonaro peine à faire passer ses réformes. Son projet de retraite est contesté dans les rues. Les syndicats ont appelé en juin 2019 à une grève générale. Des défilés se sont produits dans une centaine de villes, incitant le président à faire des concessions.

Bonnes nouvelles

L’Institut pour l’économie et la paix (IEP) publie en juin 2019 un rapport – le Global Peace Index – qui affirme que la situation s’est globalement améliorée sur les douze derniers mois. C’est, sans surprise, en Occident que la situation reste la meilleure, mais une soixantaine de guerres, très souvent civiles, continuent à ensanglanter des régions entières.

À Karuizawa (Japon), le G20 se réunit en juin 2019 pour lutter plus efficacement contre les déchets plastiques qui polluent de façon croissante les mers et océans.

Le judo français peut s’enorgueillir du nouveau titre de Clarisse Agbegnenou, championne d’Europe dans la catégorie des moins de 63 kg, pour la quatrième fois. Elle est déjà trois fois championne du monde et vice-championne olympique.

Le magazine outre-Manche Restaurant vient de décerner au restaurant Mirazur de Menton le titre de meilleur restaurant du monde.

Bon été à tous, Actualité internationale revient à la rentrée.

Copyright Juin 2019-Degans/Diploweb.com


Plus pour réussir

Extraits du catalogue des livres géopolitiques publiés par Diploweb pour la réussite aux concours.

. Axelle Degans, "La synthèse de l’actualité internationale 2019. Réussite aux concours 2020 !", éd. Diploweb via Amazon

. Pierre Verluise (dir.), "Géopolitique du monde de Trump. La stratégie du chaos ?"

. Axelle Degans, "La synthèse de l’actualité internationale 2018. Réussite aux concours 2019 !" éd. Diploweb via Amazon

. Pierre Verluise (dir.), "Histoire, Géographie et Géopolitique de la RUSSIE et de ses frontières" , éd. Diploweb via Amazon

. P. Verluise (dir.), "Histoire, Géographie et Géopolitique de l’Union européenne. A l’heure du Brexit".

. P. Verluise (dir.), "Histoire, Géographie et Géopolitique de l’Asie. Les dessous des cartes, enjeux et rapports de force".

. P. Verluise (dir.), "Histoire, Géographie et Géopolitique du Proche et du Moyen-Orient. Les dessous des cartes, enjeux et rapport de force"

. P. Verluise (dir.), "Histoire, Géographie et Géopolitique de la mondialisation contemporaine. Les dessous des cartes, enjeux et rapports de force"

. S. Schmit, "Histoire, Géographie et Géopolitique de l’Amérique latine : Un sous-continent en pleine transition politique, énergétique et commerciale. Dossiers et fiches pays"

. L. Chamontin, "Ukraine et Russie : pour comprendre"

. L. Bloch, "L’Internet, vecteur de puissance des États-Unis ? : Géopolitique du cyberespace, nouvel espace stratégique"

. G-F Dumont, P. Verluise, "The Geopolitics of Europe : From the Atlantic to the Urals"


Bonus Culture géopolitique

Vidéo. P. Buhler, T. Garcin, I. Sand. Les nouvelles formes de la puissance

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