02/2021

Synthèse de l’actualité internationale de février 2021

Par Axelle DEGANS, le 1er mars 2021  Imprimer l'article  lecture optimisée  Télécharger l'article au format PDF

Docteure en Géopolitique de l’Université de Reims Champagne-Ardenne. Agrégée d’histoire, Professeure de chaire supérieure au lycée Faidherbe (Lille) où elle enseigne la géopolitique en classes préparatoires économiques et commerciales. Auteure de nombreux ouvrages.

Voici une précieuse synthèse de l’actualité internationale de février 2021 qui sera fort utile à tous ceux qui veulent disposer d’un point de l’actualité géopolitique, suivent la spécialité #HGGSP voire préparent un concours dans des conditions délicates. Pour ne rien manquer, et recevoir nos alertes sur des documents importants, le plus simple est de s’abonner gratuitement à notre Lettre d’information hebdomadaire ou au compte twitter de veille géopolitique @diploweb (plus de 16 800 followers).

Le sort des urnes

Les élections présidentielles de février 2021 au Niger se présentent comme celles de la transition démocratique, le président sortant Mohamadou Issoufou ne se représente pas. Elles se sont tenues dans ce pays sahélien particulièrement pauvre, miné par l’insécurité sous toutes ses formes. Des violences accompagnent ces élections. Mohamed Bazoum, dauphin du président sortant, est élu avec un peu plus de la moitié des suffrages exprimés. Son rival en conteste la validité. Le climat reste très tendu au Niger.

En Italie, Mario Draghi, prédécesseur de Christine Lagarde à la tête de la Banque centrale européenne, a la charge très délicate de former un nouveau gouvernement dans un pays très touché à tous les niveaux par la crise sanitaire alors qu’il ne s’était pas remis de la crise des dettes souveraines. Il constitue en février 2021 un gouvernement de 23 ministres provenant d’un large échiquier politique depuis le parti démocrate jusqu’au mouvement cinq étoiles. Le nouveau gouvernement promet d’utiliser au mieux les fonds du plan de relance européen alloués à l’Italie.

Au Kosovo, les élections législatives de février 2021 ont sanctionné le gouvernement sortant pour sa mauvaise gestion de la pandémie. Elles ont été remportées largement par Albin Kurti dont le discours assez anti-occidental prend à revers une Union européenne qui subventionne pourtant partiellement ce pays.

Synthèse de l'actualité internationale de février 2021
Dr. Axelle Degans
Degans/Diploweb

Un déclassement relatif

Comment expliquer que la France, pays de Pasteur, n’ait pas de vaccin homologué en février 2021 comme peuvent l’être ceux d’Astra Zeneca, Pfizer, Moderna ? Elle est la seule puissance membre permanent du Conseil de sécurité de l’ONU à être dans ce cas. Il faut peut-être y voir une recherche qui pâtit de manière récurrente d’un sous-investissement (avec 2, 2% du PIB) alors que les autres pays consentent un effort plus important (2, 8% aux États-Unis).

Si l‘année 2020 est une bonne année pour l’économie chinoise, il n’en est pas de même pour les économies occidentales fortement pénalisées par le « grand confinement » comme le montre le FMI. Ainsi, l’économie française accuse une récession de 8,3%, sa consommation intérieure se rétracte de 7%, la production industrielle de 11%, ses exportations de 18%. Un repli plus sévère que dans lors de la crise née des subprimes (2007-2008). La situation est pire encore dans l’Europe méditerranéenne, mais moins préoccupante en Allemagne. L’Union européenne affiche globalement une contraction de son PIB de 6,4% pour 2020, mais 6,8% pour la zone euro. Les États-Unis, qui ne sont pas épargnés par la crise sanitaire sont affectés par une récession de 3,5% pour 2020. L’Union européenne témoigne donc d’une moindre résilience, y compris vis-à-vis du Japon dont la récession est évaluée à 5,1%. Le FMI prévoit, par ailleurs, un rebond en 2021 moins robuste pour l’UE que pour les autres pôles. Le déclassement européen est une menace devenue réalité. Elle le doit en partie au vieillissement de sa population qui pèse en retour sur le dynamisme de son économie, sa capacité à innover et à relever les défis technologiques – après les technologies de l’information et de la communication (TIC), la 5G et l’intelligence artificielle (IA) – comme son appréciation des enjeux géopolitiques mondiaux. Il ne suffit pas de découvrir – tardivement – le discours de l’autonomie stratégique, pour que le Verbe transforme des fondamentaux de la puissance faibles (démographie, économie, stratégie) en points d’appui. Trop peu, trop tard ? A suivre.


Axelle Degans, « La synthèse de l’actualité internationale 2020. Réussite aux concours 2021 ! », éd. Diploweb via Amazon
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Les États-Unis de Joe Biden dans les pas de celle de Donald Trump ?

Joe Biden affiche en février 2021 une préférence pour le multilatéralisme – alors que Donald Trump préférait l’unilatéralisme – et insiste sur la nécessité d’une alliance des démocraties qui doit amener à repenser les liens transatlantiques, et notamment l’OTAN dont Emmanuel Macron avait diagnostiqué la « mort cérébrale ». Joe Biden annonce qu’il ne retirera pas les soldats américains - environ 11 000 - du sol allemand.

L’administration américaine continue en février 2021 au Moyen-Orient la politique initiée en 2020 avec les accords d’Abraham. Joe Biden vient, comme son prédécesseur, de faire passer un « Buy America act » qui incite les administrations à acheter américain.

L’attitude de Washington restera sur le fond la même vis-à-vis de Pékin. Ces deux géants économiques sont dans ce que Joe Biden qualifie de « compétition extrême », car ce qui se joue n’est rien moins que le leadership mondial. Le président américain a fait connaitre en février 2021 ses « profondes inquiétudes » au sujet des multiples atteintes aux droits de l’homme, en particulier à Hong Kong.

La nouvelle administration annonce un plan de relance de 1 900 milliards de dollars pour soutenir la consommation intérieure, au prix d’un alourdissement de la dette que la FED espère de court terme misant sur une reprise de l’économie américaine tirée par la consommation.

Les États-Unis ré ouvrent en février 2021 la porte à de possibles négociations sur le dossier du nucléaire iranien. En revanche, après plusieurs attaques contre des intérêts américains en Irak (notamment sur la base d’Erbil où sont stationnés des soldats américains), les États-Unis mènent des frappes aériennes en Syrie contre des infrastructures utilisées par des forces soutenues par Téhéran. Washington laisse connaitre un rapport de la CIA impliquant le prince héritier saoudien dans le meurtre de Jamal Khashoggi en Turquie en 2018. Si quelqu’un avait encore un doute, le voici levé.

Le temps de la contestation populaire

Aung San Suu Kyi a été renversée en février 2021 par un coup d’État militaire qui est condamné par la communauté internationale. Elle est en résidence surveillée. L’armée birmane a pris un pouvoir qu’elle n’a jamais complètement quitté. Les élections législatives de la fin 2020 ont été un désaveu pour l‘armée, qui a tenté des recours qui n’ont pas aboutis. C’est dans ce contexte que les militaires ont repris le pouvoir et décrété l’état d’urgence. Tous les pouvoirs sont désormais dans les mains de Min Aung Hlaing. Il est peu probable que des sanctions économiques internationales soient efficaces car ce coup d’État n’empêche pas la Chine, l’Inde, la Corée du Sud et d’autres pays asiatiques de continuer à faire des affaires avec la Birmanie. Les nombreuses manifestations montrent que ce putsch n’est pas populaire en Birmanie. La forte mobilisation de la société civile est une première dans ce pays. L’armée peine à endiguer la contestation et utilise la force. Plusieurs morts sont déjà à déplorer.

L’Algérie renoue en février 2021 avec les manifestations. C’est le deuxième anniversaire de l’Hirak, ce mouvement populaire à l’origine du départ du pouvoir de Bouteflika à la tête du pays depuis 1999. Les manifestations s’étaient taries dans le contexte de la crise sanitaire. Elles reprennent sous une haute surveillance policière.

En Russie, la contestation de Vladimir Poutine, au pouvoir depuis 1999, enfle courant février 2021. L’arrestation d’Alexei Navalny à son retour en Russie, puis sa condamnation à deux ans et demi de prison servent de catalyseur. Ainsi, plus de dix mille personnes ont été arrêtées. L’empoisonnement dont il a été victime en 2020 ne lui donne pourtant pas un brevet de respectabilité. L’Union européenne condamne l’attitude du pouvoir russe vis-à-vis de l’opposant, une des questions est de savoir si cela ira jusqu’à compromettre le gazoduc North Stream II qui devrait alimenter l’Europe en gaz russe.

Avis de gros vents sur l’Union européenne

Alors que certains membres de la zone euro – et nombre d’Européens – espèrent que la Banque centrale européenne (BCE) passera l’éponge sur toute une partie des dettes contractées, Christine Lagarde s‘y est opposée fortement. La présidente de la BCE a déclaré « l’annulation de la dette d’État détenue par la Banque centrale européenne est inenvisageable. Ce serait une violation du traité européen qui interdit strictement le financement monétaire des États. Cette règle constitue l’un des piliers fondamentaux de l’euro  ». Cette fin de non-recevoir a douché les espoirs de pays européens dont l’endettement a très fortement augmenté dans le contexte de la crise sanitaire. Ainsi, la BCE détient environ 3 000 milliards d’euros d’obligations souveraines. Cette nouvelle accompagne l’annonce que les fonds européens prévus pour faire face à une crise économique que l’on pressent comme la plus grave depuis le début du XXIème siècle ne seront pas débloqués aussi rapidement que prévu. Si 2021 devrait être une année de reprise de la croissance économique, les pays de l’Union mettront des années à se relever du « grand confinement » de 2020, et de la très forte décélération de l’activité.

Le revers essuyé par la diplomatie à Moscou est glaçant. A la tête de la diplomatie européenne, Josep Borrel, s’est rendu en Russie courant février 2021 notamment dans le cadre de la condamnation d’Alexeï Navalny. Bruxelles voulait rappeler à l’ordre Moscou en matière de respect de l’État de droit et des droits de l’homme. Vladimir Poutine a répliqué, en pleine visite diplomatique, en expulsant trois diplomates européens accusés d’être présents lors d’une manifestations pro-Navalny. Josep Borrell a néanmoins poursuivi sa visite car « les canaux diplomatiques doivent rester ouverts » a-t-il affirmé. Ce camouflet illustre la faible audience de la diplomatie européenne, et démontre aussi l’impuissance européenne à faire triompher ses valeurs, y compris dans son environnement proche. Les mesures de rétorsions envisagées ne sont en rien des solutions. Stopper les travaux du gazoduc North Stream II n’empêchera en rien Moscou de vendre son gaz à d’autres partenaires mais privera l’UE fortement dépendante sur le plan énergétique d’un gaz qu’elle ne produit pas. L’Allemagne, la Pologne et la Suède, dont des diplomates ont été expulsés de Russie, ont en retour expulsé des diplomates russes.


Bonus vidéo. P. Vimont et B. Tertrais Quelles relations franco-russes ?


Alors que l’Union européenne déplore plus de 500 000 décès du coronavirus, Ursula von der Leyen, présidente de la Commission exprime ses regrets à propos de l’incapacité européenne de mettre rapidement à disposition suffisamment de vaccins pour en proposer à plus des deux tiers de la population. Cela aurait pu être l’occasion pour l’Union de montrer sa capacité à décider et agir dans cette situation critique et de renforcer ainsi sa légitimité aux yeux des citoyens européens. Une occasion manquée. Thierry Breton, commissaire à l’industrie, promet d’augmenter les capacités européennes en matière de production de vaccin.

Embourbements

La communauté internationale assiste à un pourrissement de la situation au Liban. La capitale a été dévastée au mois d’août 2020 par une explosion déjà consécutive de l’impéritie politique libanaise. Le retour au pouvoir du premier ministre Saad Hariri, un an après que des manifestations populaires l’aient poussé à la démission, ne signifie pas une amélioration de la situation. Ses relations délétères avec le président Aoun n’aident en rien un pays qui a tant besoin de se relever. Par ailleurs, on cherche encore les effets positifs de la visite d’E. Macron à proximité des ruines du port de Beyrouth. En revanche, cette gesticulation n’a-t-elle pas entamé son crédit politique à l’international ?

Au Sahel, l’opération Barkhane a pris le relai en 2014 de l’opération Serval qui à la demande de Bamako, a empêché les djihadistes de prendre la capitale. Huit années marquées par des réussites à mettre au crédit de l’armée française. Paris a cherché à susciter un relai régional dans la lutte contre le djihadisme avec la formation du G5 Sahel auquel participent la Mauritanie, le Mali, le Burkina Faso, le Niger et le Tchad. Courant février 2021, force est de constater que la guerre contre le djihadisme n’est pas en passe d’y être gagnée, que les forces du G5 Sahel ne sont pas efficaces, qu’une certaine lassitude s’installe dans l’opinion publique française et qu’un sentiment anti-français progresse au Mali. À l’évidence, la solution au problème du djihadisme ne peut être que politique, l’opération Barkhane ne pouvant que contribuer à créer des conditions favorables. A Paris, on réfléchit à une évolution du dispositif tout en ayant conscience qu’un retrait est impossible. En effet, 57 militaires ont déjà perdu la vie et cette opération a un coût que la France ne peut plus forcément se permettre d’assumer.

Après six années d’une terrible guerre, aucune issue n’est entrevue au Yémen. Le prince héritier saoudien, Mohammed ben Salman (MBS) est à l’origine de ce conflit qu’il imaginait comme une guerre éclair devant asseoir son autorité et sa légitimité en Arabie saoudite comme sur la scène internationale. Il n’en est rien, cette aventure à laquelle participent aussi les Émirats arabes unis est un fiasco militaire et un des pires désastres humanitaires de ce siècle pour la population yéménite. Une épidémie de choléra a fait nombre de victimes et aujourd’hui des centaines de milliers d’enfants sont menacés par la famine. Le pouvoir, soutenu par Riyad, a perdu le contrôle de la province occidentale de Sanaa au profit des rebelles houthis soutenus par Téhéran. Ces derniers viennent de prendre Marib, une ville un peu à l’Est de Sanaa. L’administration américaine de Joe Biden fait savoir courant février 2021 que le prince héritier MBS n’est plus l’interlocuteur privilégié de Washington.

Le Nord du Nigéria est de nouveau le théâtre en février 2021 d’un enlèvement de plusieurs centaines de jeunes filles. Le pouvoir est impuissant à endiguer une criminalité structurelle dans le pays, alimentée par les réseaux djihadistes.

La géopolitique des vaccins continue

L’Union européenne a donné l’autorisation de la vente des vaccins de Pfizer, Astra Zeneca et Moderna. Le vaccin russe est déjà utilisé dans certains pays d’Amérique latine, d’Afrique et du Moyen-Orient, en plus de la Russie. Les vaccins chinois connaissent une large diffusion, en particulier en Asie. La Chine et la Russie resserrent les liens avec leurs alliés et partenaires commerciaux, le Maroc achète d’abord des vaccins chinois, l’Algérie a d’abord acheté des vaccins russes, puis chinois… En Europe, la Serbie a fait le choix des vaccins chinois, la Hongrie du Spoutnik V. L’influence de ces pays se mesure au choix des vaccins… C’est aussi une rivalité pour améliorer l’image de ces nations, les vaccins sont aujourd’hui au cœur d’un nouveau « soft power » comme l’entend Joseph Nye.

Valneva, une biotech franco-autrichienne, a été repérée par Londres pour son vaccin contre le coronavirus. Elle doit encore procéder à des tests, mais le contexte de la vaccination de masse au Royaume-Uni ralentit la confirmation ou l’infirmation de l’efficacité de son vaccin.

Une nouvelle direction de l’OMC

L’Organisation mondiale du commerce (OMC, héritière du GATT) doit renouveler sa direction après la démission inattendue du brésilien Roberto Azevedo. La Nigériane Ngozi Okonjo-Iwela est la première femme à en prendre la direction, en février 2021. Cette diplômée en économie de l’Université du Massachussetts Institut (MIT) a la lourde tâche de relancer une institution en panne depuis le début du cycle de négociation entamé à Doha en 2001 et de lui donner une nouvelle légitimité dans le cadre de la crise sanitaire actuelle.

La Chine sur tous les fronts

La Chine fournit courant février 2021 ses vaccins contre le coronavirus à de nombreux pays dans le monde. L’influence de la Chine au cœur de l’UE est sensible, et dénoncée il y a déjà plusieurs années, par Angela Merkel. Pékin organise depuis 2012 des sommets annuels 16+1 devenu 17+1 depuis que la Grèce les a rejoints en 2019. Ils réunissent les pays d’Europe centrale, orientale et balkanique, des pays pourtant atlantistes, mais dans lesquels les investissements chinois sont nombreux.

Mission to Mars

La sonde chinoise envoyée vers Mars est arrivée dans le même temps que celle des Émirats arabes unis et des Américains. En mettant sur orbite autour de Mars la sonde Hope, les EAU sont la première puissance spatiale arabe à réussir une telle action.

La mission américaine Persévérance a permis en février 2021 l’atterrissage d’un engin motorisé, un rover, sur la surface de la planète rouge. Il s’agit de prélever des échantillons. Cette sonde américaine est en partie équipée de matériel français, notamment l’ « œil ».

Bonnes nouvelles

Le Traité d’interdiction des armes nucléaires (TIAN) sous l’égide de l’ONU est ratifié par 51 pays à la fin du mois de janvier 2021. Le 3 février 2021, États-Unis et Russie (près de neuf dixièmes des ogives nucléaires du monde) ont renouvelé leur accord pour réduire leurs arsenaux nucléaires respectifs. Cette politique de désarmement n’est pourtant pas globale, comme le prouvent les programmes nord-coréen et iranien.

Une accalmie sur le toit du monde ! Après une désescalade des tensions sino-indienne le Pakistan et l’Inde annoncent courant février 2021 privilégier la voie diplomatique concernant le Cachemire. Cette région disputée depuis l’indépendance (1947) est à l’origine de plusieurs guerres entre ces deux pays. Après un regain de tension depuis dix-huit mois, un cessez-le-feu vient d’être négocié. Une bonne nouvelle… à suivre.

Loujain al-Hathloul, militante saoudienne des droits de l’homme est libérée en février 2021, après une détention de trois ans. Les pressions de Washington n’y sont peut-être pas étrangères.

Le Canadien Telsat a choisi Thales Alenia Space pour constituer une constellation de près de trois cents satellites en vue d’améliorer le trafic Internet.

Copyright Mars 2021-Degans/Diploweb.com


Plus pour réussir

Extraits du catalogue des livres géopolitiques publiés par Diploweb pour la réussite aux concours.

. Axelle Degans, "La synthèse de l’actualité internationale 2020. Réussite aux concours 2021 !", éd. Diploweb via Amazon

. Florent Parmentier, Pierre Verluise (sous la dir.), "Géopolitique de l’Europe trois décennies après l’ouverture du Rideau de fer", éd. Diploweb via Amazon

. Axelle Degans, "La synthèse de l’actualité internationale 2019. Réussite aux concours 2020 !", éd. Diploweb via Amazon

. Patrice Gourdin, "Manuel de géopolitique, éd. Diploweb via Amazon"

. Pierre Verluise (dir.), "Géopolitique du monde de Trump. La stratégie du chaos ?" éd. Diploweb via Amazon

. Pierre Verluise (dir.), "Histoire, Géographie et Géopolitique de la RUSSIE et de ses frontières" , éd. Diploweb via Amazon

. P. Verluise (dir.), "Histoire, Géographie et Géopolitique de l’Union européenne. A l’heure du Brexit".

. P. Verluise (dir.), "Histoire, Géographie et Géopolitique de l’Asie. Les dessous des cartes, enjeux et rapports de force".

. P. Verluise (dir.), "Histoire, Géographie et Géopolitique du Proche et du Moyen-Orient. Les dessous des cartes, enjeux et rapport de force"

. P. Verluise (dir.), "Histoire, Géographie et Géopolitique de la mondialisation contemporaine. Les dessous des cartes, enjeux et rapports de force"

. S. Schmit, "Histoire, Géographie et Géopolitique de l’Amérique latine : Un sous-continent en pleine transition politique, énergétique et commerciale. Dossiers et fiches pays"

. L. Chamontin, "Ukraine et Russie : pour comprendre"

. L. Bloch, "L’Internet, vecteur de puissance des États-Unis ? : Géopolitique du cyberespace, nouvel espace stratégique"

. G-F Dumont, P. Verluise, "The Geopolitics of Europe : From the Atlantic to the Urals"


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